9 juillet 2024
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J'aborde maintenant la déco de la montagne, un exercice particulièrement long où il faut incorporer différents flocages, filets floqués, buissons entre les rochers, avec une fixation immédiate à l'aide d'un pistolet à colle. Les photos ci dessus présentent une petite zone traitée avec quelques sapins ajoutés
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4 juillet 2024
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09:47
La route qui dirige vers la ville sur le module 2 doit être retracée. Elle traverse désormais la voie unique via un PN automatique qu'il faut installer, et finit sa course dans un mur ! La solution passe par un tunnel routier qui traverse la coulisse derrière le panneau de fond de décor. Il faut donc créer un relief rocheux dans cette zone sur une profondeur forcément réduite. Cela facilitera la jonction entre les deux dioramas qui n'ont pas les mêmes origines au niveau du paysage reproduit.
première étape, installation de demi barrières (Train 160) et pose d'un portail en retrait d'un mur de soutènement afin de permettre la création d'un relief rocheux et une végétation plaquée en fond de décor.
Le panneau de fond de décor est ouvert sur le portail de tunnel afin de prolonger sa longueur, un caisson est construit et décoré à l'intérieur pour prolonger la route en souterrain. Il enjambe les cinq voies de la coulisse.
Cette option permet de créer un espace rocheux à la jonction des modules 2 et 3. Par contre la maison de garde barrière prévue sur le module 3 n'a plus sa place. Elle sera positionnée sur le module 2, ce qui nécessite de revoir le tracé de la route qui dirige vers la zone de fret.
Le muret est prolongé et protège la zone ferroviaire jusqu'à la maison de garde barrière.
Une autre difficulté, la transition entre les deux dioramas qui présentent un ciel voilé sur l'un et plus dégagé sur l'autre, corrigé après quelques touches de peinture acrylique sur fond de nuages
Des feux clignotants sont installés (train 160), ainsi qu'un petit poste de transformation (Artitec) aux abords de la voie. La déco sur cette zone est en phase d'achèvement.
Côté viaduc sur le module 3, une zone arborée est ajoutée pour donner un peu de profondeur (zeeschium et filets floqués)
La maison de garde barrière a perdu sa fonction d'origine lors de l'installation de demi barrières automatiques, elle a été recyclée et les nouveaux occupants ont à coeur de fleurir les abords. (touffes de fleurs trouvées sur Ebay china)
Reste une petite zone aux abords de l'usine dont la déco doit être refaite, avec quelques sapins ajoutés. L'essentiel des travaux de restauration du module 2 sont terminés, je vais pouvoir aborder la déco de la zone montagneuse sur le module 3 avec la création d'un village de chalets.
A suivre
2 juillet 2024
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De nombreux modélistes possèdent cette loco produite par Jouef il y a plusieurs dizaines d'années. Evidemment, sa reproduction est loin des standards actuels, mais elle avait l'avantage d'être accessible à toutes les bourses, ce qui n'est plus le cas des modèles proposés de nos jours. Moyennant quelques interventions, il est possible de l'améliorer, et ce, sans modifier sa motorisation qui reste correcte et peu bruyante, basée sur le fameux moteur 5 pôles installé en position inclinée.
La photo ci dessus présente la loco en phase finale de travaux, patinée, équipée d'un décodeur sonore et d'une nouvelle ligne d'alimentation pour améliorer la prise de contact insuffisante.
Pour ce faire, il faut démonter le châssis maintenu par une vis, extraire les essieux, l'embiellage, et les cylindres en dégageant le carter lui-même maintenu par trois vis. A l'intérieur du châssis, j'ai introduit une plaque époxy isolée en deux sections. Elle doit être percée avant d'être collée entre les longerons.
Les longerons sont ensuite traversés par une tige de laiton de 1 mm de diamètre après perçage au ras de la plaque époxy. Elle sera soudée sur les deux pistes, puis sectionnée avec un disque à tronçonner. Des lamelles de contact en chrysocale (1/10 ème mm d'épaisseur) sont ensuite découpées puis soudées sur les tiges de laiton qui débordent des longerons. en veillant à ne pas dépasser l'écartement interne des roues de la loco. Les lamelles doivent affleurer le bandage intérieur de chaque roue sans forcer.
Cette intervention permet une captation efficace du courant sur les 6 roues de la loco et une distribution du courant pour réaliser un éclairage des feux AV non présents sur cette machine. Deux fils seront connectés au tender pour améliorer la prise de courant
L'éclairage est réalisé avec des leds canon B/TC qui seront collées dans l'orifice présent. Leur câblage doit se faire en perçant le châssis sous le bissel AV dont les roues ne doivent pas être en contact.
Une résistance de 15 Kohms permet d'atténuer la luminosité des leds. Un cerclage de phare est ensuite collé sur chaque led.
Les pare fumées des modèles Jouef d'époque sont plutôt grossiers, il est facile de réduire leur épaisseur en grattant leur tranche avec un cutter, ce qui allège sensiblement leur silhouette vue de face.
L'éclairage des feux AR du tender passe par un perçage de la caisse où seront introduits des leds canon dont le têton sera réduit en longueur. Le lest doit également être arasé d'une partie qui déborde à l'intérieur de la hotte.
Le décodeur sonore (ESU Loksound) trouve sa place sur le lest, le HP situé à l'arrière en position médiane.
Charbon véritable collé dans la hotte, avec qq points de débordements, du tartre est reproduit autour des trappes d'eau, puis une patine pour atténuer l'aspect plastique de la loco
Idem sur la loco après plusieurs passes à l'aérographe (noir sale, noir brillant, rouille, poussière)
Terminé, la loco a changé d'allure, bien sûr, elle n'atteint pas les niveaux de reproduction des modèles vapeur actuels, mais elle peut circuler à leur côté sans complexe, d'autant que la digitalisation améliore au passage ses performances en matière de traction, laquelle reste bonne malgré la légère cure d'amaigrissement du lest. A noter le rajout de marchepieds à l'avant de la machine, et d'un attelage à choquelles.
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30 juin 2024
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19:24
Cette loco produite par notre firme Jouef en son temps est considérée par de nombreux amateurs comme un collector aujourd'hui très recherché. Elle m'a été confiée par l'ami Jean-Pierre dans un excellent état en vue de sa digitalisation sonore et quelques travaux d'amélioration sur l'éclairage. La photo ci dessus présente la loco en phase finale de travaux, légèrement patinée afin d'atténuer l'aspect un peu trop neuf de sa livrée seyante assez bien reproduite par le fabricant.
L'éclairage d'origine des feux AV est limité à deux leds dans des tons jaunes pas très réalistes. Il existe un troisième feu frontal que j'ai souhaité installer. Pour ce faire, il faut décoller délicatement le panneau AV de la chaudière. Trois leds minuscules (CMS 402 filaires) sont collées à l'intérieur des optiques de feux.
Elles remplaceront le système d'origine après raccordement sous le châssis des 6 fils + résistance supplémentaire pour atténuer l'éclairage. Le démontage de la caisse et du châssis maintenue par vissage ne pose pas de problème. Le panneau sera ensuite recollé sur la chaudière
La motorisation de cette série de locos est réalisée dans le tender sur la base d'un moteur Jouef 5 pôles incliné avec une transmission correcte et peu bruyante sur un seul bogie. Elle sera donc conservée. Le décodeur sonore est un modèle ESU loksound filaire programmé par Mr Bastiani chez Train-Modélisme sur la base d'une 241 P
Pour pouvoir le loger, il faut supprimer avec une scie à métaux la partie de lest qui déborde sous la soute à charbon. Le HP doit être positionné à l'arrière, bien centré juste derrière la vis de fixation. Deux platines époxy contenant 5 pistes isolées sont installées de chaque côté du décodeur, pour raccorder les différents fils et les résistances CMS des feux AR
Le système d'éclairage des feux AR par conduit lumineux sera supprimé, remplacé par deux leds canon qui passent de chaque côté du HP. Le corps des leds est peint en noir mat pour éviter les fuites de lumière sous le châssis
Pose de charbon véritable dans la hotte
Terminé, la loco se comporte bien avec une prise de courant correcte basée sur deux essieux de la loco et deux essieux du tender, les deux éléments loco/tender sont raccordés électriquement par un système de palpeur qui est assez fiable et qui a été conservé. La capacité de traction reste bonne malgré la légère diminution du lest d'origine.
Bonne pour le service.
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26 juin 2024
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19:00
J'aborde maintenant l'installation d'un signal particulier qui se situe en amont d'une bifurcation dirigeant sur trois voies différentes, ce qui justifie l'ajout d'une cible au dessus du signal présentant un indicateur de direction (3 feux blancs) La photo ci dessus présente le modèle que j'ai adapté à partir d'un signal de BAL classique issu du catalogue très complet d'Eric (voir plateforme Camareric sur Ebay) Situé à l'entrée d'une courbe, il permet au conducteur de visualiser la voie qu'il doit emprunter selon l'état des feux allumés.
1 feu à gauche de la cible = direction gare de montagne, 2 feux à partir de la gauche = direction centrale, 3 feux à partir de la gauche = direction voie de droite)
la plus grosse difficulté est de loger sur les deux cibles 9 leds CMS 402 filaires et de faire passer les 18 fils émaillés minuscules dans le mât. Une fois l'opération réalisée, il reste à identifier les pôles positifs qui seront tous réunis, chacun des pôles négatifs doivent ensuite être reliés à des résistances adaptées à la luminosité des leds. Et comme bien sûr les fils sont très courts, il faut les raccorder à un faisceau de fils multicolores où chacun doit identifier le feu correspondant. Une petite journée est nécessaire pour le câblage !
En sus des trois feux classiques de BAL (vert, rouge, jaune) le signal doit pouvoir présenter deux feux de rappel de ralentissement pour prise d'aiguilles déviées) et le carré rouge lorsque le train circule en sens inverse (voie banalisée)
Le signal est en place, j'ai ajouté un chevron tête en bas pour signaler les aiguilles prises en pointe, et un autre signal en amont S indiquant que le conducteur doit se servir de l'avertisseur sonore.
La gestion sera assurée par un module de signalisation de type CDF Informatique, piloté par TC
Sans oublier les armoires qui sont aux abords du signal. La déco est quasiment terminée sur cette zone.
Restera la programmation à réaliser sur Train Controller qui n'est pas simple, dans la mesure où les trains circulent dans les deux sens de marche. Une fois de plus, l'ami Renaud YVER m'a été d'un grand secours et s'est acquitté avec brio de ce chantier sur le TCO que je lui avais communiqué. Je le remercie chaleureusement et je reste impressionné des possibilités offertes par ce logiciel très performant.
19 juin 2024
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La toiture de la loco doit être démontée pour réinstaller le panto carmina dont les supports sont détériorés et inutilisables. Elle est simplement fixée par une vis centrale. Comme de plus la peinture doit être refaite, elle sera donc enlevée par grattage, puis trempage dans de l'acétone.
Ce qui permet au passage de nettoyer les grilles très fines présentes sur les quatre coins de la toiture. Les tiges supportant les isolateurs du panto sont ensuite redressées et soudées après avoir repercé quatre orifice.
Un premier voile de peinture gris moyen est appliqué à l'aérographe sur l'ensemble
Préalablement, quatre petites sections de profilé en U montés à l'envers permettent de reconstituer les supports sous les isolateurs. Ils seront collés puis peints. Puis une légère patine en noir sale en insistant sur la zone supportant le panto. Les isolateurs sont ensuite repeints en blanc cassé, et pour finir la palette du panto sera poncée avec une gomme abrasive Roco sur la surface en contact avec la caténaire.
Les différents éléments de la loco sont repeints à l'aérographe afin d'éliminer les écailles, après masquage de l'immatriculation présente sur la caisse (vert 306 SNCF et noir sale toiture sur le châssis et les bogies) Un vitrage sur les baies de la cabine est ensuite collé
Les fils d'alimentation des leds CMS (feux AV et AR) sont ensuite soudés sur la platine présente à l'AR du châssis (touche F0 pour les feux blancs et F1 pour les feux rouges AR)
Terminé, les tests de circulation confirment d'excellents ralentis et une grande inertie ce qui d'ailleurs est conforme à la vitesse de pointe (de l'ordre de 50km/h) de la loco qui était affectée essentiellement aux manoeuvres. Par contre, la force de traction est limitée, et il serait sans doute judicieux de doter la machine de bandages d'adhérence sur au moins un des essieux moteur??
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17 juin 2024
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06:06
Il s'agit d'une loco originale produite en son temps sous forme de kit par l'artisan LSM et qui m' a été confiée pour restauration (GRG) par l'ami Thierry dans un état plutôt dégradé. L'objectif est de la digitaliser et la remettre en état de marche, ce qui passe par un démontage de tous les éléments (mécanique, châssis, caisse, toiture, pantographe) avant réfection totale de la peinture.
Pour mémoire, deux locos de ce type (BB1002 et 1003) ont été fabriquées par AEG en 1941 sous l'occupation allemande et ont été attribuées en 1945 (prises de guerre) pour une remise aux normes SNCF, ces machines ayant été prévues à l'origine pour le Japon. Elles n'ont été mises en service qu'à partir de 1954 et ont eu une courte carrière (radiées en 1969)
Tout d'abord le bogie moteur, un premier test montre un point dur au niveau de la transmission sur un des deux essieux, le centrage du pignon étant imprécis, bloqué dans une bague isolante. Le longeron a été légèrement redressé afin de laisser plus de jeu entre la vis sans fin et le pignon, après une incision partielle avec un disque à tronçonner. Le moteur RSF est excellent, amélioré par les deux grosses vis sans fin qui font office de volant d'inertie. La prise de courant se fait sur les 8 roues de la loco, montées sur des demi essieux fixés par une bague isolante. Un petit point de graisse améliore leur rotation.
Le bogie porteur avait perdu sa fixation, il s'emboîte sur le châssis et est maintenu par une nouvelle vis de récupération.
Il faut refaire les points de soudure des fils conducteurs qui prennent appui sur les extrémités de chaque longeron isolés, opération nécessitant de sortir les essieux.
Au niveau de la caisse, la peinture est écaillée et devra être refaite, de même, la toiture est très endommagée, avec les supports de panto qui ne tiennent plus, ce dernier par contre est de bonne facture (modèle carmina) mais devra également être réparé sur une branche qui est cassée. Un couvercle de trappe est manquant.
Il sera reconstitué avec une chute de laiton surmonté de deux poignées réalisées en fil de 4 dixième, le tout soudé et collé.
Un décodeur lenz sera installé dans la partie médiane de la cabine.
Pour réunir les fils d'alimentation et ceux de l'éclairage, j'ai prévu une petite platine sur laquelle des résistances CMS de 33 Kohms ont été ajoutées pour réduire l'intensité des feux.
A ce stade, je peux tester la loco qui fonctionne désormais très bien en mode digital avec des ralentis excellents
L'éclairage est réalisé en perçant les orifices de feux avec un foret de 2 mm, j'enfile ensuite un morceau de tube PVC blanc de même diamètre où sera fixé une led CMS bicolore BTC/rouge, maintenue par une goutte de résine polymérisable UV qui termine l'optique.
Une résistance de 33 Kohms donne un bon résultat niveau luminosité
La toiture est fixée par une vis centrale traversante, elle doit être démontée pour les travaux de restauration, les supports de panto étant très dégradés, ainsi que la peinture réalisée grossièrement au pinceau qui doit être refaite
C'est tout pour aujourd'hui, le plus dur reste à faire niveau peinture, à suivre......
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14 juin 2024
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Il est temps de construire la coulisse au dos du module 3, laquelle permettra de raccorder les 5 voies du réseau précédemment en impasse.
J'ai adopté le même schéma, basé sur quatre équerres cintrées en lamellé/collé fixées par vissage et collage au dos du module. Elles ont dû être rectifiées à la scie circulaire d'établi car en sortie de magasin, elles sont loin d'avoir l'angle requis 90°, ce qui est indispensable pour obtenir un raccordement correct des plateformes entre elles. Cette dernière est réalisée dans un panneau de xyltech de 10 mm d'épaisseur de 110 x 15 cm ceinturé par une bordure de médium de 20 mm de 3 mm d'épaisseur
la plateforme est ajustée pour être au même niveau que les deux voies qui raccordent le module d'extension.
Il ne reste plus qu'à poser les voies et les aiguillages, sur un lit de colle à bois. Les 5 voies permettront de faire transiter ou stationner des convois entiers sur toute la longueur du réseau (3,30 m) Un aiguillage situé sur la cinquième voie raccorde l'embranchement particulier qui dessert l'usine de ballast et la zone portuaire en façade du réseau. Le niveau des rails doit être ajusté au niveau du raccordement inter-module et bien dans l'alignement pour éviter une cassure au passage des convois. Les moteurs MP1 et les jonctions électriques seront installés ultérieurement, l'accès étant facile sous la plateforme.
Nous avons vu qu'un immeuble situé en limite du module 2 a dû être tronçonné. Cette partie sera réutilisée pour être adossée en surélévation et décalée par rapport à cet immeuble qui a été totalement repeint et patiné. On ne perd rien! Il reste encore un peu de place pour créer un petit parking aux abords de la gare.
La route d'origine est retracée et passera par un nouveau PN. J'ai dû ouvrir un flanc d'interface avec une scie cloche pour avoir un accès au moteur MP1 qui actionne un aiguillage en courbe que j'ai dû déplacer à l'entrée de la gare. Là encore, il faut penser à tout en cas d'un éventuel remplacement d'un moteur défectueux. Je dois dire que ces modèles sont très fiables lorsqu'ils sont bien installés, ce qui implique de ne pas trop faire forcer les lames mobiles sous peine que la transmission se bloque dans un sens ou dans l'autre. Un réglage approprié de la course de ces moteurs est prévu sur la notice du fabricant.
En façade, un petit bâtiment d'entretien sera ajouté dans l'EP, qui vient d'être équipé d'un éclairage intérieur à base de ruban de leds CMS
La déco sur cette zone se poursuit, il reste encore pas mal de détails à affiner.
Une petite baraque de chantier a été déplacée et sera réinstallée aux abords de la gare.
12 juin 2024
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06:30
Zoom sur une partie du réseau en cours de déco (module 2 et 3 réunis) en attendant de pouvoir loger le premier qui attend sagement d'être raccordé lorsque les travaux de modification du local seront réalisés.
Dans l'immédiat, les deux modules visibles sur cette photo devront être à nouveau séparés pour terminer la phase déco et aborder l'électrification en vue d'intégrer la gestion informatique du module 3
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6 juin 2024
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06:58
les deux modules 2 et 3 sont réunis provisoirement pour "réparer" les dégâts provoqués par la suppression de la boucle en rampe qui raccordait la voie unique banalisée à la gare sur le module 2. Ce qui nécessite de refaire une partie de la déco et adapter les niveaux des plateformes qui supportent les voies.
Notamment le raccordement visible sur cette photo avec la gare principale à partir d'un aiguillage enroulé impose de revoir l'axe de la voie en sortie du viaduc qui ne correspond pas. Malgré le soin apporté au tracé du module d'extension, il est très difficile d'obtenir un positionnement précis des voies qui doivent se raccorder tant que les modules ne sont pas réunis. Ce qui me fait dire qu'il est bien plus facile de construire un réseau que de faire des modifications lors d'extension.
L'usine cornerstone est en place, l'une des voies raccorde le module 2 et les deux autres seront en impasse, l'ex bâtiment Kibri a été réduit avec suppression des trémies qui faisaient double emploi.
Le tracé de la route a été modifié, mais une piste sera créée pour diriger sur les installations d'usine.
Avant de refermer les toitures, j'ai souhaité créer un semblant d'activité à l'intérieur des différents niveaux que j'ai ajoutés dans la mesure où l'éclairage installé offrira une visibilité de l'extérieur.
J'ignore totalement comment ces usines fonctionnent, et j'ai utilisé des accessoires que j'avais dans mes tiroirs, pas très orthodoxe mais mieux à mon avis que de ne rien mettre.
Par contre j'ai soigné l'éclairage avec des rampes de leds CMS à tous les étages, ainsi que des appliques murales au dessus des portes d'entrée du bâtiment (micro leds CMS 402 filaires)
Et avant la pose, le bâtiment constitué de tôles a été repeint intégralement et patiné, avec ajout de quelques traces de rouille sur les structures métalliques.
Un autre chantier, le remplacement des murs de soutènement, avec une nouvelle difficulté, car la plateforme supérieure supportant l'usine doit être escamotable et s'ajuster précisément sur le mur.
Ils seront ensuite recouverts de plaques de murs en relief Kibri préalablement peints et patinés.
Une niche est réalisée qui permettra d'installer un signal de BAL surmonté d'un panneau indicateur de direction, la voie unique dirigeant vers trois directions différentes en aval.
Les murets qui ceinturent l'usine ont été réinstallés, ils feront l'objet d'une patine lorsque toute la déco sera refaite dans cette zone.
Le petit trottoir qui délimite le parking de la voie a dû être également refait, compte tenu de la voie désormais en palier, il sera équipé de barrières de protection.
Un petit immeuble de ville figure sur le module 2, qui sera adossé aux deux autres situés sur le module 3, l'occasion de créer un petit parking à cheval sur les deux modules dans la zone de gare.
Le plus gros des travaux est maintenant cadré, je peux à nouveau séparer les deux modules pour avoir un accès plus facile durant la phase de déco. La prochaine étape sera la construction de la coulisse au dos du module 3