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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 06:02

Je ne parlerai pas de train aujourd'hui, mais d'aéro modélisme, avec un dossier traitant de la construction intégrale d'un modèle réduit réalisé par mon jeune frère Michel, passionné d'aviation. Il faut reconnaître que la pratique de ce hobby fait appel à de solides connaissances (pilotage) et aptitudes (conception) toutes deux parfaitement maîtrisées, ainsi que nous allons le découvrir ci-après. 

 

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il s'agit de reproduire en modèle réduit un moto planeur "Le Tukan" que l'on aperçoit ici sur le tarmak de l'aérodrome de Mende en Lozère. 

 

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Ce type d'appareil totalement autonome est équipé d'un moteur qui s'escamote dans le fuselage après le décollage.

 

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C'est parti. Le premier travail est d'élaborer un plan à partir des cotes de l'appareil réel, dans la mesure où il n'a jamais été reproduit ni commercialisé en kit à construire. L'échelle retenue est de l'ordre du 1/6ème (envergure 14,70 m réduit à 2,35m)

La conception est basée sur deux demi fuselages, cette disposition étant adoptée pour faciliter l'installation du moteur, de son sytème de rétractation, des accus et des servos moteurs.

 

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le modèle réduit devra être le plus léger possible, de nombreux couples ajourés en balsa et en bois plus dur constituent la structure du fuselage. Les deux demi éléments devront se raccorder parfaitement, ce qui impose une construction sur marbre. Son poids à vide (sans les servos, accus, etc) sera de l'ordre de 1,250 Kg contre 220 Kg pour l'original.

 

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les travaux progressent, un flanc du fuselage est déjà "habillé" le planeur commence à prendre forme.

 

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l'assemblage du fuselage est bien avancé sur cette photo où l'on peut voir les servos moteurs chargés de la commande de l'appareil.

 

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la motorisation sera réalisée avec une turbine, sachant que l'installation d'un moteur classique à hélice ne peut pas être adoptée pour ce type d'appareil dans la mesure où la rétractation doit se faire lorsque l'hélice est stoppée dans l'axe du fuselage, à l'instar des moto planeurs réels, ce qui est quasi impossible à reproduire en modèle réduit.

 

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zoom sur le système de translation du moteur que l'on voit ici en position décollage. 

 

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La grande inconnue est le niveau de puissance d'un moteur de ce type. Est ce qu'il sera suffisamment puissant pour faire décoller l'appareil et l'élever dans les airs???

 

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la construction se poursuit

 

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le nez de l'appareil sera constitué de blocs de balsa empilés et collés.

 

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y'à plus qu'à mettre en forme et poncer!!!

 

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c'est terminé, le nez peut être désormais collé sur le fuselage

 

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Le profil est conforme à l'original, la finition est soignée.

 

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Sur cette photo, la structure du planeur est bien avancée, l'entoilage va pouvoir être réalisé

 

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zoom sur le train d'atterrissage constitué sur ce type d'appareil de deux roues positionnées sur chaque flanc du fuselage, les haubans prennent appui sur les moyeux.

 

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Avant d'attaquer les travaux de finition, il faut réaliser le cockpit avec une empreinte destinée à déterminer sa découpe.

 

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C'est terminé, l'appareil fait ses premiers tours de roues sur la piste d'envol de l'aérodrome de Mende, le coeur bat!!! va t il décoller?? se comporter correctement en vol......on a confiance, Michel est un bon pilote et il connait l'engin réel, Il vérifie avec son poste de radio commande que tout fonctionne normalement. C'est OK, il peut décoller.

 

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ouf, il vole et plutôt bien selon le frangin, et là, pas de solution de repli comme sur l'original qui dispose d'un système de parachute escamotable incorporé dans le fuselage permettant de faire redescendre l'appareil avec son pilote en cas d'avarie grave. Tiens, au fait, pourquoi ce système n'est pas adopté sur les vols passagers?? une carlingue suspendue à des lots de parachutes et qui se détacherait de l'avion pour éviter les crash meurtriers!!! je rêve!!!

 

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 l'oiseau passe au dessus du pilote qui contrôle que tout fonctionne parfaitement. Aussi beau que l'original!!!

 

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une dernière photo avant d'atterir, le vol d'essai s'est bien déroulé, il pourra sans doute être amélioré avec un équipement d'accus plus performants et moins lourd. Une caméra embarquée avec rotation télécommandée est prévue qui permettra de visualiser du cockpit le comportement de l'appareil en vol......de belles vidéos en perspective!!!!! 

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En aéro modélisme, avant de réaliser le premier vol d'un prototype, il est de bon ton de prendre un maximum de photos de son appareil sous toutes les coutures, ce qui fut fait bien entendu, on ne sait jamais s'il rentrera entier!!!! Heureusement, tout s'est bien passé, c'était un challenge de taille, félicitations du frangin qui imagine assez bien le travail que représente un tel projet

 

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24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 21:18

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LS Models a produit des voitures Ocem faces lisses sous la réf 40207 commercialées en coffret de 3, matériel dont la qualité de reproduction est remarquable, notamment l'aménagement intérieur. Ayant acquis récemment deux coffrets neufs auprès d'un revendeur particulier; j'ai pu constater quelques défauts importants qu'il a fallu corriger, la rame ayant une fâcheuse tendance à dérailler dans les courbes. 

 

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La qualité de roulement n'est pas au RV selon les voitures, j'ai donc examiné de plus près les causes. les essieux tournent sur des paliers en laiton insérés dans les flancs internes de bogie, ces derniers ne sont pas suffisamment enfoncés dans les boitiers et freinent la rotation des essieux. Sur cette photo, j'ai ôté le support des boîtes de roulement pour repositionner correctement les paliers. Cela règle le problème.

 

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les supports de boitiers de roulement sont remis en place et collés, ces pièces fragiles ayant tendance à se faire la malle!!!

 

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un point de graisse au silicone sur les paliers améliorera encore la qualité de roulement.

 

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autre problème décelé sur 2 voitures sur 6, l'écartement entre les flancs internes de roues qui est hors norme, déraillement sur les appareils de voie!!!! J'ai dû recaler 8 essieux à 14,40 mm, les écarts étant parfois importants de l'ordre du mm

 

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Zoom sur le dessous de caisse supportant le bogie, là encore nouveau problème décelé difficilement, les voitures faisant un bruit désagréable dans les courbes. constat: les roues qui frottent sur la traverse pourtant évidée d'origine par le constructeur

 

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il faut donc fraiser davantage cette zone et tout rentre dans l'ordre!!!

 

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Je peux donc maintenant m'attaquer à l'éclairage d'une voiture, j'ai utilisé des lamelles de contact en chrysocal adaptées aux voitures LS Models (fourniture Miniatures Passion) Il faut ajouter une cale collée sous le bogie (polystyrène noir) pour surélever légèrement les lamelles, sinon les barres de supports de freins empêchent le contact sur les essieux

 

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Après qq tours de circuit, je constate à nouveau que certaines voitures déraillent dans les courbes. Vérification des timons d'attelages à élongation variable qui bloquent parfois en position médiane, leur logement n'étant pas suffisamment précis. De plus en plus déçu, je suis à deux doigts d'abandonner, la solution de secours, un cavalier en fil d'acier de 0,8 mm qui maintiendra le timon en alignement, le jeu doit être très précis pour un déplacement sans blocage. là aussi, j'ai ajouté un petit point de graisse au silicone. Cette fois ci, la rame toute entière se comporte correctement, je peux continuer mes travaux d'éclairage. Une chance, le cavalier est quasiment invisible lorsque le wagon est sur les rails.

 

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Pour améliorer le contact des lamelles sur la voiture chargée d'alimenter l'éclairage de la rame, j'ai ajouté un point de graisse cuivrée (fourniture miniatures passion) il s'agit d'un nouveau produit contenant des particules de cuivre et favorisant les contacts, recommandé pour ce type d'application.

 

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Le toit se dégage facilement de la caisse, la rampe de leds CMS devra être collée sur un support compte tenu d'un grand nombre de plots qui gênent sa fixation.

 

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Par contre sortir la caisse du chassis sans rien casser est un exercice périlleux, j'en suis venu à bout en insérant délicatement une lame de cutter et en faisant pression.

 

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Les différents éléments de la voiture sont dégagés, je vais pouvoir installer la ligne d'éclairage avec les composants.

 

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Le fil passe sans forcer au travers du trou d'origine, il sera soudé sur la lamelle prélablement collée sur son nouveau support

 

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la cale ajoutée sera percée  une fois collée sur le dessous du bogie

 

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l'un des compartiments toilettes sera arasé au niveau du sol pour loger le condensateur.

 

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Les deux fils d'alimentation débouchent sous le compartiment toilette

 

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le dessous des compartiments voyageurs doit être fraisé sur sa partie centrale pour laisser passer le fil d'alimentation, l'élément du haut sur la photo est traité, l'autre pas encore.

 

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les travaux progressent, les compartiments sont équipés de voyageurs, le condo 1000 uf 25V a été collé sur sa base dans les toilettes, il sera invisible, la vitre à cet endroit étant opaque.  

 

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le plus dur est fait, il faut maintenant câbler la rampe d'éclairage

 

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Les fils d'alimentation des roues sont raccordés aux bornes alternatives d'un pont redresseur, et les bornes + et - au condensateur et à la rampe de leds en ajoutant une résistance de 390 ohms pour atténuer la luminosité de toute la rame. (attention à bien respecter les polarités) Cette disposition permet d'assurer un éclairage stable aussi bien en mode analogique que digital

 

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la connexion électrique entre chaque voiture se fera avec des mini prises câblées (fourniture Limousin modélisme trains) qui seront logées dans les soufflets. Il faut créer une ouverture en perçant le vitrage de la porte d'intercirculation, sans malmener cette dernière. Le perçage en biais permet de cacher totalement les fils.

 

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Pour les autres voitures, j'ai pu éviter de sortir la caisse du chassis, ce qui a simplifié le travail, les personnages ont  pu être collés en les introduisant par les ouvertures entre les porte bagages!!!!! ouf

 

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l'intérieur de la voiture mixte 1ère classe/2ème classe

 

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les 6 voitures sont terminées, elles ont toutes subi le même traitement pour parvenir à une circulation parfaite 

 

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le résultat final est au RV, l'éclairage intérieur de la rame est superbe et met bien en valeur les nombreux détails reproduits par LS Models. Il est vraiment dommage que tous les défauts majeurs détectés dans cet article n'aient pas été rectifiés avant la commercialisation, ce constructeur nous ayant habitué à des produits excellents et sans problème. Je serai dorénavant plus circonspect lors d'achats dans cette marque, car il n'est pas admissible que le matériel roulant vendu dans cette gamme de prix ne soit pas au point et nécessite autant d'améliorations pour pouvoir circuler correctement. En d'autres circonstances, j'aurais pu mettre en cause la qualité de pose des voies sur mon réseau, mais ce n'est pas le cas, puisque tout le matériel actuel roule sans problème !!!! Peut-être suis je tombé sur une mauvaise série??

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 07:58

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J'ai dû revoir la ligne d'éclairage de la rame CIWL dans la mesure où celle ci était directement alimentée par la loco de tête. A l'origine, je souhaitais pouvoir la commander directement via la touche éclairage de la centrale digitale, ce qui impliquait un système d'attelage connecté électriquement entre la première voiture et la loco équipée d'un décodeur. Le fonctionnement était parfait, mais limitait la traction de cette rame à une seule loco équipée de la sorte (BB9004) Par ailleurs, en mode analogique, l'éclairage était plutôt défaillant.

 

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La présence d'un fourgon en fin de convoi permet de pouvoir loger dans cette voiture un certain nombre de composants qui assureront un éclairage stable de toute la rame. Il s'agit ici d'un modèle rivarossi qui avait déjà fait l'objet de modifications au niveau de l'articulation des bogies et de l'attelage à élongation variable (modèle Roco) C'est lui qui sera chargé de capter le courant sur la voie.

 

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Un trou est percé pour passer le câble d'alimentation.

 

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Une lamelle en chrysocal (fourniture Miniature Passion MP 907) est mise en forme et est collée sous le bogie, il faut agrandir le trou central diamètre 3,5 mm pour pouvoir introduire la vis d'origine.

 

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Sur ce type de voiture, le constructeur a prévu un petit ressort en compression entre la tête de vis et le bogie, ce qui assure un bon positionnement des bogies sur la voie. La captation du courant se fait sur 2 roues de chaque bogie, ce qui est suffisant avec le montage qui suit

 

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Un pont redresseur associé à un gros condensateur de 2200 uf 25V permettra de stabiliser le courant quel que soit le mode d'alimentation et le sens de marche (analogique ou digital)

 

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Les composants sont fixés sur le plancher du fourgon, avec un point de colle, les fils d'alimentation de chaque bogie soudés sur les bornes alternatives du pont redresseur, et la sortie + et - à la rampe d'éclairage de leds CMS et sur le feu de fin de convoi en intercalant une résistance de 1 kOhms, j'ai ajouté une grosse résistance d'un demi/watt 390 ohms pour alimenter la ligne d'éclairage de toute la rame, afin d'atténuer la luminosité. Cette valeur est à déterminer en fonction du nombre de voitures qui seront connectées au fourgon. (huit dans le cas présent) Je n'ai pas installé de décodeur de fonction permettant de commander directement l'éclairage de la rame via une touche Aux. de la multimaus, car l'objectif est un fonctionnement aussi bien en analogique qu'en digital, et ce dans les deux sens de marche.

 

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Désormais, je peux faire tracter la rame CIWL par d'autres locos, la BB9004 roco qui assurait le service avec un fil à la patte a retrouvé un attelage classique.

 

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Cette photo nocturne a tendance à surimpressionner l'éclairage des voitures, en fait, il est beaucoup plus faible et peut être ajusté précisément en fonction de la résistance intercalée sur la ligne d'éclairage de la rame.

 

Bien entendu, ce montage ne se justifie que si l'on souhaite faire circuler des rames éclairées sous divers modes d'alimentation, si l'on ne retient que le digital, il suffit de rajouter un décodeur de fonction dans le fourgon de queue.

 

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 06:42

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c'est terminé ou presque, l'autorail vient d'être patiné sommairement avec les encres Model mates, qq touches de finition à réaliser et il va pouvoir rentrer à l'inventaire de biscatrain.

 

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La totalité du câblage est concentrée au dessus du moteur sur une petite plateforme aménagée derrière le poste de conduuite.

 

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petit retour en arrière, les fils émaillés alimentant les feux AV et AR cheminent le long de la caisse où ils ont été collés (UHU Strong and safe) surtout pas de cyanolit qui risque d'attaquer l'isolant.

 

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l'anode de tous les éléments électriques (feux, rampe d'éclairage) est connectée au fil bleu (commun +) du décodeur. Les cathodes de chaque feu seront raccordées au fil blanc et jaune en intercalant une résistance de 3,3 Kohm sur chaque cathode. J'ai réduit la luminosité de la rampe d'éclairage du compartiment avec une résistance supplémentaire de 1Kohm. L'ensemble des fils est regroupé à la verticale du moteur.

 

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Le décodeur est un Lenz direct positionné sur son support adhésif; Il ne reste plus qu'à souder les fils sur chacune des pattes en respectant les codes. Un petit schéma est utile pour repérer la fonction de chaque patte, d'autant que c'est inversé, le décodeur étant à l'envers.

 

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petite vérification sur la voie de programmation pour vérifier que tout est OK, l'éclairage du compartiment est obtenu par la touche AUX 1 de la multimaus Roco.

 

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Un petit tour de circuit confirme que l'autorail passe les courbes et les rampes sans problème. L'ajout de bandages d'adhérence ne sera pas nécessaire.

 

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Maintenant, il convient de solidariser la caisse au chassis par quatre petits points de colle (UHU), le serre joint permet de bien faire adhérer la colle. Il est très facile si nécessaire d'ouvrir à nouveau la caisse en glissant une lame de cutter entre les deux éléments.

 

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terminé, l'engin peut regagner le dépôt, et rejoindre ses congénères.

 

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 06:23

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Les travaux se poursuivent et il convient maintenant d'équiper le bogie porteur de lamelles de contact. Elles sont maintenues par un point de colle et un fil laiton de 5 dixième qui traverse le support.

 

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Là aussi, le chassis doit être fraisé pour dégager les renforts latéraux qui bloquent la rotation du bogie. Deux cavités sont creusées pour le passage des fils conducteurs à l'intérieur du chassis. Au passage, c'est environ 1 cm de métal qui a été raboté, mais ce n'était pas nécessaire vu la réhausse appliquée plus loin.

 

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les deux bogies sont prêts à être raccordés électriquement. Les 8 roues seront conductrices

 

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Une rondelle supplémentaire a dû être rajoutée sur le bogie porteur ce qui porte la réhausse à 1,5 mm, le chassis est désormais au bon niveau avec une traverse de tamponnement bien positionnée par rapport aux rails.

 

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L'aménagement intérieur a été sectionné à la hauteur du moteur, les fils sont regroupés dans un compartiment qui accueillera le décodeur.

 

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les fils circulent entre le chassis et le compartiment dans des trous perçés sur chaque traverse.

 

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Un premier test de roulement confirme que l'engin peut se passer de bandages d'adhérence. Néanmoins, par prudence, j'ai lesté la cabine côté moteur pour améliorer la traction.

 

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Pour permettre l'installation d'une rampe de leds, les supports de caisse ont dû être arasés.

 

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l'intérieur de la caisse a été repeint en vert foncé pour limiter les fuites d'éclairage par transparence du plastique.

 

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L'aménagement intérieur a été peint, équipé de voyageurs et d'un conducteur. Aucune garantie sur les teintes utilisées, n'ayant pas de doc en couleur.

 

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le ruban de leds CMS ton chaud a été posé, les fils d'alimentation connectés côté moteur.

 

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Là, ça se complique, il faut démonter les affreuses lanternes, extraire les feux factices, les creuser, et installer des leds CMS bicolores à l'intérieur.

 

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Les feux doivent être creusés avec une fraise sphérique Dremel en veillant à bien centrer, ne pas faire fondre le plastique, et ne pas s'écorcher les doigts, un exercice périlleux, car l'objet en question est bloqué entre les doigts qui assure la meilleure préhension possible !!!! J'utilise une mini perceuse/visseuse dont la vitesse de rotation est très lente......si çà dérape, les dégâts sont limités!!!

 

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Les feux seront équipés de leds CMS rouge et blanc ton chaud (fourniture Limousin Modélisme Trains)

 

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Les feux seront ensuite percés (1 mm) pour les fixer sur un tube en laiton de même diamètre extérieur

 

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L'assemblage se fait par collage (UHU strong and safe) selon la photo ci-dessus. Attention, tout est très fragile, et vous avez vite fait de dessouder les micro-pattes des leds. Proscrire la colle cyanolit qui attaque l'émail des fils (court-circuit)

 

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Laisser sécher, puis tester, si tout se passe bien, les leds fonctionnent, sinon, il faut tout recommencer!!!!

 

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Un cerclage de phare s'impose pour masquer partiellement les micro-leds. J'utilise les modèles L'obsidienne, mais installés à l'envers, pour présenter la face lisse sans pincettes.

 

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Les feux sont installés en reperçant (1 mm) l'emplacement d'origine. Premier test d'éclairage feux blancs, c'est OK

 

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avec les feux rouges, un peu trop puissant, il faudra repeindre les phares et atténuer la puissance des leds avec une résistance appropriée.

 

C'est tout pour aujourd'hui, la suite sera consacrée à la digitalisation, finition, patine.

 

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 06:20

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Le dernier modèle produit par les Editions Atlas est plutôt réussi, avec une gravure correcte, un vitrage encastré dans les fenêtres, des tampons fins, bref en constante amélioration par rapport aux premiers modèles de la collection. Sa grande longueur pose d'emblée un problème pour le motoriser, car la rotation des bogies en courbe est limité par la caisse, j'ai donc essayé de trouver une solution.

 

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Les essieux en plastique doivent être impérativement changés, j'ai utilisé des modèles de diamètre 11,40 mm aux normes fines NEM RP 25 (fournitures Limousin Modélisme Trains) Ils offrent l'avantage de surélever l'autorail dont la garde au sol est trop basse. 

 

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Les pointes ont été tronçonnées avec un disque Dremel et les ouvertures sur les bogies agrandies avec une petite lime à section carrée. Le bogie porteur que l'on voit au premier plan sera conservé en l'état avec son carter d'origine qui peut-être ôté par simple vissage.

 

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Lors du remontage des nouveaux essieux, il faut s'assurer que leur rotation se fait sans frottement, ce qui nécessite d'agrandir légèrement la fenêtre sur chaque roue.

 

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le changement des essieux permet de réhausser la caisse, mais reste insuffisant pour la hisser au niveau de la traverse de tamponnement d'un Picasso (modèle Mistral) j'ai dû rajouter une rondelle de 0,75 mm d'épaisseur sur l'axe du bogie. C'est une très bonne chose car ce dernier va pouvoir désormais pivoter sans heurter le bas de caisse de l'autorail.

 

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La rondelle (diamètre intérieur 4 mm) sera collée sur le support du bogie porteur.

 

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Le chassis en zamac doit être fraisé pour faire sauter les renforts latéraux qui bloquent la rotation du bogie, j'ai réduit l'épaisseur de 1 mm environ pour m'assurer que les roues ne frottent pas, ce n'est peut-être pas indispensable si l'on utilise des roues de plus faible diamètre, mais dans ce cas, il faudra encore surélever la caisse d'autant.

 

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En fait, le boudin des roues affleure le dessous du chassis à 1 mm près, le fraisage ci dessus permet d'augmenter cet écart pour le porter à 2 mm, c'est un point important à vérifier car si la voie n'est pas bien plane, c'est un court-circuit garanti si les deux roues font contact avec le métal, d'où la nécessité d'utiliser des roues à boudins fins.

 

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Bon maintenant, je peux attaquer le bogie moteur. Après un rapide examen, je constate que l'entraxe des essieux est de 37 mm, ce qui rend impossible l'utilisation du carter moteur bachmann dont on voit un modèle ci-dessus (motorisation équipant les véhicules rail/route de la marque) Néanmoins, je vais essayer d'adapter le moteur et la transmission sur le bogie d'origine Atlas. La disposition des vis sans fin équipant le moteur bachmann ne permet pas d'attaquer directement les pignons montés sur les essieux. Il faudra donc un deuxième étage de pignons. Les fenêtres du bogie ont été également agrandies pour loger les essieux avec leur pignon

 

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le carter a lui aussi été usiné en conséquence

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Il faut maintenant fabriquer le support des pignons qui seront entraînés par les vis sans fin. J'ai utilisé deux profilés en U plat percés avec un foret de 1,5 mm. Ces derniers ont été collés provisoirement dos à dos pour garantir le même entraxe.

 

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zoom sur les deux supports avec les cotes correspondantes.

 

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Les deux pignons ont été équipés d'axes bloqués  qui viendront se loger entre les deux supports en laiton. il est possible d'utiliser les essieux d'origine Atlas qui sont au diamètre correspondant

 

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Le dessus du bogie a été arasé pour coller une plaque de renfort en polystyrène. Les longerons en laiton sont également collés en s'assurant que l'attaque des pignons primaires est correcte et que les roues tournent librement. A noter un léger fraisage à 45° de l'intérieur des longerons pour accueillir le moteur.

 

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Le moteur peut être maintenant collé (UHU  Strong and safe) en vérifiant qu'il n'y ait pas de point dur dans la transmission.

 

 

 

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Le chassis doit être ouvert en suivant le profil du bogie moteur, un disque en polystyrène a été confectionné qui servira de support.

Son épaisseur a dû être ramené de 2 mm (photo ci dessus) à 1 mm pour assurer une hauteur identique avec le bogie porteur.

 

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le disque sera ensuite découpé afin de créer deux demi-coupelles qui seront collées de part et d'autre du moteur.

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Le chassis reposera sur les deux coupelles. Après plusieurs essais, l'ouverture dans le chassis a été rectifié pour ajuster sa découpe définitive.

 

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Avant la pose des coupelles, j'ai installé des lamelles découpées dans du chrysocal de 1/10ème de mm pour la captation du courant.

 

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Elles sont fixées par deux petites tiges en laiton de 0,5 mm qui traversent le chassis du bogie.  Le câblage moteur/roues est en place pour raccordement ultérieur à un décodeur.

 

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Il convient maintenant de fixer le carter par vissage, car il est important de pouvoir sortir les essieux, sans doute pour les équiper de bandages d'adhérence ??

 

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Le bogie moteur fonctionne, mais il faut assurer sa rotation sur un axe. Compte tenu de sa faible hauteur (2,1 cm par rapport au niveau du rail) j'ai prévu de fabriquer un cavalier dans une plaque de laiton de 0,5 mm d'épaisseur.

 

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Le cavalier est fixé par vissage sur le chassis qui a été percé et taraudé en conséquence. Une petite pièce en laiton de 1mm d'épaisseur a été équipé d'une micro vis à tête fraisée et l'ensemble collé sur le moteur en vérifiant bien son centrage.

 

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Le plus dur est fait, le bogie repose sur ses deux coupelles, et l'axe sur le moteur assure sa rotation précise. Cette adaptation limite au minimum l'emprise du moteur sur le compartiment voyageur. Il faut maintenant vérifier que l'engin se comporte bien dans les courbes et dans les rampes.

 

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La suite de cet article portera sur la digitalisation, l'éclairage des feux et de l'intérieur de l'autorail, la déco/patine et les essais. Il reste à vérifier que les roues n'accrochent pas sur le bas de caisse.......

 

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les flancs de bogie passent sans problème sous la caisse, mais les flancs de roues???

 

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 07:00

L'animation d'un réseau passe aussi par la création d'un environnement sonore qui apporte une touche supplémentaire de réalisme, notamment avec l'arrivée sur le marché de décodeurs sonores intégrés dans les locomotives. Toutefois, la taille des HP ne permet pas toujours une restitution convenable des sons, notamment dans les petites échelles HO et N, et surtout, ils sont vite couverts par le bruit de roulement d'une rame tractée. Je réserve donc cette utilisation à quelques séquences de manoeuvres sur le dépôt et en gare, le plus souvent avec des machines circulant "haut le pied"

 

Il est désormais possible d'installer une sonorisation puissante fixe sur/sous un réseau, qui met en oeuvre des modules spécifiques chargés de diffuser des séquences sonores pré enregistrées, via plusieurs HP répartis judicieusement afin de restituer sur commande une ambiance ferroviaire ou toute autre de qualité. J'ai découvert un fabricant qui propose des kits prêts à l'emploi, couvrant divers environnements sonores, dont ceux qui concernent directement notre hobby. Il s'agit de la Société LDL (Loco Digilab - site sur le net) que certains connaissent sans doute, puisque j'ai consacré un article présentant une partie de son programme dans le N° 570 de janvier de la revue RMF

 

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Le kit se présente sous la forme d'un circuit électronique relié à un ou plusieurs HP, celui figurant sur cette photo diffuse sur trois canaux distincts déclenchables par bouton poussoir des séquences pré enregistrées par le fabricant (ambiance de gare, annonces départ et arrivée, bruit de locos, etc) L'alimentation se fait sous 8 à 16 volts AC ou DC, par contre le courant délivré par une centrale digitale est proscrit. 

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chaque module est pourvu d'une carte mémoire (chip) enfichable sur laquelle sont programmés les sons. De plus, le fabricant LDL accepte de télécharger toute source sonore personnelle (format MP3 ou WAV) pourvu qu'elle soit de qualité moyennant qq euros supplémentaires.

 

 

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Dans la gamme disponible, le fabricant a prévu des chips capables de générer des sons variés de manière aléatoire sur de très courtes durées et qui peuvent se superposer avec un fond sonore qui lui, est constant.

 

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Cet environnement acoustique original est obtenu à partir de deux modules LSMA et LSMM, chacun diffusant respectivement sur deux et trois HP des séquences sonores distinctes.

 

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Le schéma d'implantation des HP est fourni par le fabricant et permet un rendement optimum si tout est respecté.

 

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ci dessus photo du module LSMM tel qu'il est livré par le fabricant.

 

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Sur cette photo, nous voyons les différents éléments de la sono qui va être installée sous le réseau.

 

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le premier travail consiste à fabriquer des supports pour fixer les HP sous le bâti du réseau, j'ai retenu cette disposition après avoir vérifié que la diffusion était excellente, la structure en forme de caisson ayant tendance à amplifier la source sonore. 

  

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Les HP seront simplement collés avec une colle de contact type néoprène. 

 

 

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Les supports seront ensuite vissés sous la structure inférieure du réseau

 

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confection des supports pour les trois autres HP (médium de 10 mm d'épaisseur)

 

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il est important de bien identifier chaque HP avec sa source d'alimentation propre, car les modules émettent sur trois canaux distincts les sons aléatoires, d'où une perception émanant de différents points du réseau.

 

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Disposant d'un ancien module sonore, j'ai souhaité le recycler en l'installant sous la gare terminus, puisqu'il sera chargé de restituer l'ambiance sonore d'une grande gare, avec ses annonces de départ et d'arrivée de trains.

 

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C'est fait, il sera donc positionné à l'extrême Est du réseau.

 

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les différents HP au nombre de 6 sont tous en place, il faut maintenant les raccorder aux 3 modules sonores.

 

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N'ayant plus de place sur le poste de commande principal, je les ai installés sur le second TCO construit à l'extrême ouest du réseau, lequel doit gérer les deux gares souterraines 2 et 3. Les boutons poussoir à contact momentané et les interrupteurs de commande sont répartis à gauche du TCO, chacun permettant de lancer un programme de sonorisation distinct.

Il sera donc possible de programmer un  déclenchement automatique au passage d'une loco sur un ILS, ou encore via un adaptateur qui figure au catalogue de LDL, ce dernier pouvant aussi être actionné par un décodeur de fonction en régime digital.

 

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Au dos du TCO, nous voyons les trois modules LDL Digilab avec leurs puces correspondantes chargés d'émettre les sons sur les 6 HP. Le principe est le suivant:

 

le module LSMA émet sur deux HP un arrière plan sonore, qui fonctionne en boucle, d'une façon globale, en restituant une ambiance de votre choix (fonction du chip pré enregistré) donc pas d'évènements sonores spécifiques.

 

le module LSMM est chargé d'un grand nombre de sons individualisés (38 dans mon cas, mais ce chiffre peut être doublé par le fabricant) ils sont restitués de manière aléatoire avec des délais également aléatoires sur 3 HP délivrant chacun un son particulier. Ces sons forment le premier plan sonore et sont en quelque sorte encastrés dans l'arrière plan sonore. C'est pourquoi les 3 HP doivent être placés en forme de triangle, le plus éloigné possible l'un de l'autre. Le volume de fond du module LSMA doit être réglé de telle façon qu'il ne couvre pas les sons spécifiques du module LSMM.

 

le module LSMA 1 est réservé aux annonces et bruit de fond de la gare terminus, il peut fonctionner soit en boucle, soit par séquences de 5 mn environ chacune.

 

 Bien installé, ce système donne d'excellents résultats, le fabricant a conçu les paires (arrière/avant plan) pour de nombreuses applications sonores. Tout ce qui contribue à restituer une ambiance sonore sur un réseau est disponible, depuis les cloches d'églises de village, cathédrales, sirènes de police, pompier, ambulance, cris d'animaux dans les fermes, bruit de fond de ville, de gares, de campagne, roulement de trains, échappement vapeur, sifflets, sonneries PN etc....)

 

Le cycle d'écoute sur le module de base est de cinq minutes, mais en mode boucle, il est permanent jusqu'à coupure de l'interrupteur principal.

 

En conclusion

 

la sonorisation d'un réseau mérite toute notre attention, car elle nous plonge dans une ambiance ferroviaire que la seule observation du plus beau réseau ne peut restituer, de nombreux clubs de modélistes ont fait ce choix, ce n'est pas un hasard. Pour ma part, je vais explorer à fond cette nouvelle voie qui devrait avoir un bel avenir, c'est ce que je souhaite à nos ingénieux concepteurs et aux futurs utilisateurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 20:00

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La firme Jouef a produit il y a quelques dizaines d'années des voitures de type OCEM à rivets apparents dont la qualité de reproduction est très acceptable. je vous propose quelques modifications visant à améliorer la qualité de roulement et le système d'attelage. j'ai profité d'un passage en atelier pour les équiper d'éclairage intérieur avec installation de qq voyageurs. 

 

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Le premier travail consiste à équiper les voitures d'attelages à élongation variable, afin qu'elle circulent soufflets et tampons joints. le positionnement de l'axe de chaque bogie permet d'envisager le montage d'attelages Roco, mais il faut dégager par tronçonnage toute la partie qui supportait les attelages d'origine. Le bogie en haut sur la photo a été modifié, mais pas encore celui du dessous.

 

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J'ai du remplacer tous les essieux d'origine dont les boudins grossiers posaient problème. Ils seront remplacés par des modèles LMT 117 aux normes fines RP 25 (fournisseur Limousin Modélisme Trains) Je souligne que c'est impératif, la marge étant très limitée pour permettre un débattement correct des bogies. A noter aussi que la qualité de roulement est incomparable avec cet équipement.

 

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 c'est parti avec une voiture mixte fourgon. Le platelage doit être gratté avec un cutter à lame plate pour faire sauter la ligne de rivet sur les poutrelles. La traverse de choc supportant les tampons sera limée légèrement (1 mm environ) pour réduire sa surface, afin que l'attelage Roco puisse glisser librement une fois installé

 

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L'attelage en question (réf Roco 40343) passe de justesse, mais il doit être fraisé de part et d'autre afin de permettre aux roues de ne pas frotter sur le support. J'ai utilisé une fraise ronde sphérique Dremel pour ce travail délicat, la finition étant réalisée avec un cutter à pointe effilée.

 

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 Sur cette photo, on voit mieux la partie du support à réduire, le boitier NEM qui supporte l'attelage doit être lui aussi réduit d'environ 1 mm, pour permettre un accouplement tampons joints avec une autre voiture équipée. Une fois le bogie réinstallé, il doit pouvoir faire une rotation dans les deux sens sans que ses roues extrêmes touchent le support Roco. J'ai veillé à ce que le wagon passe sur une courbe de 54 cm de rayon. Je pense que c'est la limite supportable, avec un rayon inférieur, le type de support d'attelage ne convient pas!!! ou alors il faut davantage l'encastrer dans le chassis en rognant un peu plus la traverse de choc.

 

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Sur cette photo wagons retournés, on voit que l'accouplement tampons et soufflets joints est parfait. Un réglage précis de celui-ci peut encore être réalisé car les attelages harpon disposent d'une marge de manoeuvre de 1 mm dans leur boitier NEM rétrécis, toutefois, il faudra mettre une pointe de colle pour les fixer définitivement.

 

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en situation sur la voie, je peux vérifier que les deux première voitures traitées circulent correctement, notamment dans les courbes.

 

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il est judicieux de coller les tampons sur leur support, de même que tous les aérateurs qui ont tendance à se faire la malle!

 

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Maintenant que la rame complète est équipée de ce type d'attelage, il convient de s'assurer qu'elle se comporte bien sur les rails. Les tests sont concluants. Je peux passer à l'équipement d'un fourgon mixte. J'ai repeint le plancher en gris moyen, ainsi que les sièges en brun pour casser l'uniformité de l'équipement Jouef. Pour les puristes, je précise que les teintes ne sont pas respectées, mais c'est sans importance pour moi. 

 

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Par contre, j'ai souhaité que l'équipement électrique fonctionne bien, c'est pourquoi j'ai installé un gros condensateur de 1000 microfards polarisé sur les sorties d'un redresseur dont les bornes alternatives sont alimentées par des lamelles de contact sur chaque bogie de la voiture. Le feu de fin de convoi (led canon rouge) est muni d'une résistance de 10 Kohms et la rampe d'éclairage (ruban de leds CMS) de 3,3 Kohms, pour atténuer la luminosité toujours trop forte

 Ainsi, toute la rame sera éclairée aussi bien en régime analogique qu'en digital et ce quel que soit le sens de marche. Il sera toujours possible ultérieurement d'ajouter un décodeur d'accessoires pour commander distinctement l'éclairage de la rame si celle ci doit rouler uniquement en régime digital.

 

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les composants sont rassemblés en queue de la voiture, et sont donc invisibles, ayant occulté les vitrages latéraux à cet endroit.

 

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la phase de test n'est pas concluante, malgré le faible éclairage, la fuite est très visible sur le raccord caisse/toit, cela tient à la très faible épaisseur de peinture des voitures Jouef, notamment sur le joint en question où il n'y a rien!!!

 

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Il faut donc revoir la peinture intérieure en appliquant une couche de vert foncé sous la toiture en débordant légèrement sur le vitrage à l'endroit du jointage.

 

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une petite astuce pour sortir le toit de la caisse, avec un cutter plat bien affuté, il suffit d'exercer une légère pression de chaque côté du toit avec les doigts et le joint devient visible, on peut ensuite soulever délicatement la toiture sans risquer de déformer la ligne de rivets, car c'est très fragile à cet endroit!!!!

 

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c'est nettement mieux à présent

 

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plus de fuite d'éclairage par transparence du plastique,

  

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idem pour le feu de fin de convoi que j'ai inséré dans une vieille lanterne jouef de récupération.

 

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Les autres voitures ont reçu le même traitement, elles seront raccordées par une ligne électrique munie de micro prises mâles/femelles en respectant la polarité. (longueur des câbles 5 cm) A noter que le vitrage devant les portes d'intercirculation doit être supprimé. Lorsque les voitures sont accouplées, la connexion est invisible, cachée par les soufflets.

 

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trois voitures sont équipées, je tiens le bon bout, la rame sera constituée de sept voitures. La tenue de l'éclairage est sans faille, même une fois le courant coupé, la rame éclaire encore qq secondes grâce au condensateur, ce qui la met à l'abri de tout clignotement intempestif lié à une mauvaise captation de courant.

 

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trois autres voitures sont en cours, s'agissant d'un lot acheté sur Ebay, elles ne sont pas issues de la même époque de fabrication Jouef et j'ai dû composer avec leur équipement intérieur qui n'est pas très orthodoxe!!!! qu'importe, l'essentiel est de constituer une rame homogène et qui roule parfaitement, ce qui n'était pas le cas avec les attelages dont elles étaient équipées. L'installation d'attelages non solidaires des bogies est impératif si l'on veut éviter des problèmes de circulation.

 

En conclusion, moyennant quelques améliorations, il est possible de maintenir sur un réseau certains matériels que l'on pourrait juger dépassés face aux productions actuelles. Elles ont le mérite d'exister, alors pourquoi s'en priver!!

 

A +

 

 

 

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 06:30

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J'en suis enfin venu à bout!! sans nul doute le modèle qui m'a posé le plus de problèmes. Une petite touche de patine et l'autorail fait ses premiers tours de roues sous alimentation digitale.

 

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Dans l'article précédent, nous en étions restés sur la construction du bogie moteur. Afin de protéger la cascade de pignons, j'ai confectionné un petit carter de 1 mm d'épaisseur (en noir sur la photo) lequel sera collé sur une réhausse du bogie (pièces blanches également collées) après réinstallation des essieux.

 

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le bogie moteur est terminé, un aimant a été collé juste devant pour les automatismes déclenchables par contacts ILS (PN) J'ai équipé quatre roues de bandages d'adhérence pour une meilleure traction.

 

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J'ai également dû revoir la construction du bogie porteur, et adopter le même principe de captation du courant que le bogie moteur.

Pourquoi? 

les lamelles de contact que j'avais utilisées, même sous une très légère pression, avaient tendance à bloquer la rotation des essieux médians, il fallait revoir les paliers, ce qui imposait l'utilisation du même type de demi-essieux conducteurs Bachmann, ces derniers étant bloqués dans une gaine isolante noire assurant un écartement correct des roues. j'ai confectionné deux supports en laiton sur le même principe que ceux du bogie moteur, ainsi, la captation du courant se fait directement par les demi-essieux via les roues. Seule contrainte, les supports doivent être isolés. Des pièces de renfort en plastique sont intercalées et collées entre chaque demi-essieux. Je précise que le perçage tous les 10,5 mm doit être fait parfaitement en alignement, pour que les toutes les roues soient bien en contact sur les rails. (diamètre des trous 1,6 mm)

 

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 L'autorail vu de dessous avant peinture.

 

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 Le câblage du moteur et des essieux passe à l'intérieur du chassis en zamac qui est creux, il débouche dans la partie centrale de l'autorail où sera installé le décodeur.

 

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 le compartiment voyageur est sectionné en deux parties au niveau du moteur. j'ai ajouté une touche de peinture sur le sol/les fauteuils/le moteur pour casser l'uniformité retenue par Atlas (aucune garantie sur les couleurs!!!) Le moteur devient ainsi beaucoup moins visible de l'extérieur dans la mesure où il ne déborde pas en hauteur par rapport aux fauteuils

  

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Le hublot du poste de conduite est mal positionné, il sera décollé et limé sur sa base pour obtenir un meilleur jointage sur la toiture de l'autorail

 

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Le fond du hublot est peint en noir mat avant repose des vitrages.

 

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idem sur tout l'intérieur de la caisse, car l'éclairage intérieur a tendance à diffuser par transparence. une seconde couche de beige clair sera appliquée par dessus le lendemain.

 

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pose de qq voyageurs.

 

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il est temps de préparer les feux AV et AR constitués de leds canon bicolores blanc TC/rouge (fournitures Limousin Modélisme Trains) dont les anodes communes sont soudées entre elles, les cathodes idem avec ajout d'une résistance de 10 Kohms. Le corps des leds a été peint en noir mat également.

 

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J'ai utilisé des câbles limande très fins qui seront ensuite collés le long de la toiture, avant peinture en beige clair

 

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idem de l'autre côté, l'objectif étant de concentrer tous les fils d'éclairage au centre de l'autorail où ils seront cachés par le compartiment moteur de l'engin. 

 

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Le décodeur peut-être installé et le raccordement ne pose pas de problème particulier. La rampe de leds CMS est scindée en deux et reliée par un pont de fils de laiton. Une résistance de 3,3 Kohms atténuera la luminosité d'origine trop violente

 

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A ce stade, je peux appliquer sur les parois internes et le plafond une couche de beige clair, car le noir serait inesthétique une fois l'autorail éclairé. Les vitres latérales sont ôtées durant cette opération, par contre les vitres frontales ont été protégées avec un ruban adhésif de masquage.

 

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La patine sera exécutée sans les vitrages latéraux, et avec le ruban de masquage Tamiya sur les faces frontales. Un lavis très liquide à base de peintures Humbrol brun, noir et beige diluées dans du white spirit. 

 

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Avant séchage complet du lavis, j'applique de la terre à décor dans les tons ocre, gris poussière, avec une brosse douce en insistant sur les zones les plus sales. Lorsque tout est correct, j'applique un spray de vernis mat tamiya qui fixe définitivement la patine. Pour ce modèle, j'ai réalisé une patine très légère.

  

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Les sorties des tuyaux d'échappement ont reçu une touche de noir, la zone de hublot est un peu plus salie que le reste de la toiture.

 

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L'éclairage intérieur est très doux, de même que les feux, le moteur est peu visible et se confond avec les sièges car il a été peint de la même couleur.

 

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Vue nocturne en gare de Clairville ou l'autorail fait une courte halte.

 

En conclusion, la motorisation de ce type d'autorail est une entreprise délicate et semée d'embûches. C'était une expérience intéressante sur le plan mécanique, puisqu'il fallait concevoir une transmission et un système de captation adaptés à la petite taille des roues. Au total, c'est quatre véhicules rail/route bachmann qui ont été sacrifiés, mais je dois dire que les organes prélévés ont également servis à la conception d'autres autorails de la série Atlas.......et il me reste encore deux motorisations complètes qui serviront sans nul doute aux modèles suivants de la collection.

Les qualités de roulement du bugatti sont excellentes, il ne plante pas sur les grils complexes d'aiguillage, il peut donc rejoindre la cavalerie des autres autorails déjà construits.

 

Je souhaite bon courage à tous ceux qui se lanceront dans la motorisation de cet autorail.

 

A +

  

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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 06:00

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La collection des autorails Atlas se poursuit avec la sortie du bugatti, un modèle assez bien reproduit au niveau de la caisse, encore qu'il faudra sans doute revoir le jointage du kiosque de conduite.

Cette photo révèle un positionnement trop bas de l'autorail par rapport à la traverse de tamponnement (ici face à un VH renault, mais c'est le même constat avec un picasso Mistral qui lui est parfaitement aux normes)

 

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Comme tous les modèles produits par Atlas, cet autorail est statique. Les différents éléments se démontent très aisément par dévissage.

 

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premier travail, construire un bogie porteur susceptible d'accueillir 4 essieux. Le diamètre des roues de l'engin réel est de 75 cm soit rapporté à l'échelle HO 8,62 mm, je vais donc tester avec des essieux de 9 mm boudins aux normes fines NEM RP 25, qui est la limite maxi à ne pas dépasser pour pouvoir les loger sans qu'ils se touchent. (fourniture Limousin Modélisme Trains)

 

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Les pointes seront tronconnées avec un disque Dremel. Attention d'extraire la roue isolée avant de réaliser cette opération (risque de fondre le plastique)

 

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Il faut légèrement limer les logements accueillant les roues ainsi que les gorges qui maintiennent les essieux en place, cette  dernière opération est réalisée avec un foret de 2,1 mm de diamètre pour permettre une rotation libre des essieux. Nous voyons sur cette photo que les boudins se frôlent à qq dixièmes de mm près!!! Le bandeau extérieur qui ceinture le bogie sera ultérieurement supprimé, car inesthétique, d'aucune utilité et apparemment inexistant sur le modèle réel.

 

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Un premier test de roulement confirme que le bogie roule bien , sans résistance.

 

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point intéressant, la réhausse du bogie de 2 à 3 mm par rapport au modèle d'origine permettra de repositionner l'autorail à la bonne hauteur par rapport aux rails.

 

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Maintenant, il faut prévoir une rotation correcte du bogie porteur, en essayant de conserver son support d'origine, la découpe du chassis en zamac se fera donc suivant le tracé ci-dessus.

 

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La scie à chantourner Proxxon se révèle parfaite pour une opération de découpe précise, très peu de rectification à la lime;

 

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par contre, il faut réduire encore les traverses du chassis pour éviter que les essieux extrêmes bloquent dans les courbes. Le support de l'axe de pivot doit être chanfreiné à 45° pour permettre également le débattement des deux essieux centraux.

 

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Terminé, le bogie est repositionné avec son carter d'origine, un peu de graisse au silicone sur les paliers pour assurer une rotation souple des essieux. Le bandeau n'est pas encore supprimé sur cette photo

 

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test sur une portion de courbe de 55 cm de rayon, cela passe aisément.

 

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Au niveau du bogie moteur, j'avais imaginé ce montage qui mettait en oeuvre un micro moteur (16,8 mm de long) avec une transmission sur deux essieux extrêmes, les essieux centraux n'étant pas motorisés, j'ai dû abandonner, le moteur n'étant pas suffisamment rapide et puissant. De plus, l'axe du moteur de 1 mm de diamètre nécessitait de fabriquer un manchon bien centré pour s'adapter à la transmission (axe de 2 mm)

 

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Par ailleurs, le positionnement très bas du moteur interdisait un montage des deux essieux médians sur axe, ce qui nécessitait de fixer les roues sur des demi-axes soudés sur un longeron, assez délicat à usiner. J'ai abandonné cette solution.

 

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J'ai donc revu ma copie. La nouvelle motorisation étudiée sera réalisée à partir d'essieux prélevés sur deux véhicules Bachmann de ce type, dont le diamètre des roues (8,2 mm) et surtout la transmission devrait permettre de motoriser les quatre essieux de l'autorail.

 

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 C'est parti, le chassis du bogie d'origine Atlas a été renforcé de deux longerons laiton en U plat et ouvert pour permettre le passage des engrenages bachmann d'origine (noirs) la transmission entre les essieux est réalisée à partir d'engrenages (blancs) récupérés sur une CC 65001 Mistral (le fabricant ayant dû remplacer toutes les roues voilées sur le modèle acheté à l'époque) Le positionnement de l'ensemble vérifié, il faut maintenant fabriquer les supports de rotation.

 

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Les pignons blancs seront calés sur des traverses en laiton en U plat usinées (les gorges sont espacées de 10,5 mm chacune, et fraisées avec une mèche de 1,6 mm)

 

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Les longerons viendront s'appuyer sur les deux traverses d'extrémité du bogie, selon le schéma de la photo, les axes des pignons blancs seront tronçonnés à la bonne longueur .

 

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deux longerons supplémentaires (profilé section rectangulaire) seront collés sur les supports de paliers des pignons blancs afin de réhausser le bogie, et positionner le moteur. La transmission se fera par vis sans fin attaquant un pignon primaire (blanc) dont le support reste à faire. Le moteur est un modèle de récupération provenant d'un lot acheté sur Ebay, l'axe est de 1,5 mm et a dû être équipé d'un manchon usiné en laiton pour loger la vis sans fin au diamètre de 2 mm (également issue de récup)

 

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le support est réalisé avec un jeu de cornières en laiton collées sur les longerons. (UHU strong and safe en gel) permet de bien positionner la pièce rapportée.

 

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 Le moteur est ensuite collé sur les deux longerons.

 

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Une traverse latérale en L a été rajoutée pour solidifier le support du pignon d'attaque moteur.

 

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Bogie retourné, le support d'essieux du constructeur Atlas n'est pas acceptable. Les gorges seront arrasées au cutter. Il faut donc réaliser des longerons capables d'accueillir des essieux au diamètre de 1,5 mm. La conception Bachmann permet un montage astucieux sur le plan de la captation du courant car chaque roue est enfichée sur des demi-essieux isolés par l'engrenage central (noir), d'où l'idée de construire des longerons en laiton qui supporteront les essieux en question et seront donc conducteurs (pas de lamelles de contact à ajouter!!!!), Par contre, ces longerons devront impérativement être isolés du corps du bogie moteur. J'ai donc usiné quatre demi longerons sur des profilés laiton en U plat avec une gorge fraisée à 1,5 mm de diamètre, les profilés étant préalablement collés provisoirement bien à plat pour assurer un bon équerrage (entre axe de chaque essieu 10,5 mm soit exactement 31,5 mm entre les essieux extrêmes)

 

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Les deux demi longerons en U sont ensuite collés (puis soudés l'un contre l'autre) pour former un profilé de section carrée. Ces profilés seront ensuite collés sur le support plastique du bogie d'origine Atlas en veillant à ce qu'ils ne touchent pas le corps supérieur sur lequel ils feraient masse.  

les gorges présentes peuvent ensuite être repercées à 1,6 mm de part et d'autre, ce procédé assurant un calage parfait des essieux Bachmann.

 

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les essieux remontés, je m'assure que les 8 roues sont bien en contact avec les rails et que la transmission ne bloque pas.

A ce stade, je peux ôter les bourrelets extérieurs du bogie d'origine. Les roues des véhicules Bachmann présentent des boudins très fins, avec une bande de roulement certes un peu large, mais très efficace sur le plan de la captation du courant. Je vais donc revoir le bogie porteur pour l'équiper des mêmes roues, avec un processus identique pour la prise de contact, ce qui assurera à l'engin une captation du courant sur 16 roues sans montage de lamelles pas simple à mettre en oeuvre pour cet autorail.

 

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Côté bogie moteur, le chassis a été découpé en respectant un tracé circulaire (rayon 20 mm de l'axe d'origine de rotation du bogie) il faut maintenant prévoir un système permettant au bogie moteur une rotation centrale en évitant un arceau supérieur qui serait trop visible côté compartiment. Décidément, rien n'est facile sur ce modèle!!!

 

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Il faut donc fabriquer une pièce dans une plaque  de polystyrène de 2 mm d'épaisseur selon un gabarit reproduit avec une pointe et compas à tracer.

 

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La pièce en question doit être parfaitement usinée pour permettre une rotation par glissement sur le chassis en zamac. 

 

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le support sera ensuite collé sur le chassis moteur avec deux traverses supplémentaires pour assurer une rigidité parfaite de l'ensemble. 

 

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J'ai usiné deux roues au tour afin de mettre des bandages d'adhérence. deux fils ont été soudés sur chaque traverse en laiton supportant les demi essieux, dans l'immédiat ils ont été raccordés directement au moteur pour faire les premiers tests de roulement de l'engin.

 

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le bogie moteur repose sur son berceau, une cale a été ajoutée à l'arrière du moteur pour maintenir le bogie sur le chassis lorsque l'autorail est soulevé.  

 

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 idem sur l'avant, avec un étrier réalisé en fil laiton de 8 dixième coudé en forme de U et qui est démontable. 

 

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le compartiment intérieur peut être remonté, il sera sectionné à la hauteur de la vis sans fin, deux pièces de ont été rajoutées sur le longeron latéral pour supporter la partie du compartiment arrière qu'il faut découper pour permettre un débattement du bogie moteur en courbe.

 

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Il ne reste plus qu'à peindre le compartiment et ajouter des personnages.

 

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le plus dur est fait. le reste des travaux portera sur la déco, l'éclairage intérieur et les feux AV/AR, digitalisation et patine. Je n'ai sans doute pas choisi l'option la plus facile, mais j'en suis venu à bout, c'est l'essentiel. A noter que la petite taille des roues sur ce modèle est un handicap pour une motorisation limitée à 4 roues motrices, même avec 8 roues entraînées, l'engin a tendance à patiner, ce qui a motivé l'installation de bandages d'adhérence sur deux roues

Les premiers tests de roulement avec une alimentation analogique sont bons, la captation de courant excellente, et l'inscription en courbe de 55 cm de rayon parfaite.

le compartiment moteur (au centre) permettra de loger le décodeur et un condensateur.

Je souhaite du courage et de la persévérance à tous ceux qui se lanceront dans ce type de travaux. Il existe aussi des solutions de motorisations toutes faites, mais le modèle se prête assez mal à une adaptation. Bref, l'essentiel est d'arriver à le faire rouler!!!!

A + 

 

 

 

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A la demande de nombreux internautes, et pour faciliter leur recherche, j'ai entrepris de constituer un glossaire regroupant tous les articles, photos et vidéos diffusées depuis la création du blog en janvier 2008.

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