La partie mécanique est au point, les premiers tests de circulation en régime analogique confirment le bon fonctionnement de l'autorail, encore amélioré après installation d'un volant d'inertie (Micro Modéle) Un conducteur a été ajouté ainsi que des passagers, dont chaque visage a été repeint en brun afin de rester dans le style colonial de l'époque.
Une barrette en PVC supporte le ruban de leds CMS ton chaud dont l'intensité d'éclairage est atténué avec une résistance de 2 Kohms. Elle sera collée sur la partie supérieure du compartiment voyageur, après ajout de deux cales sur la bride moteur.
Quelques retouches couleur ivoire sont nécessaires pour masquer les fils de micro leds traversant les globes de phares.
Des essuie vitres SMD ont été ajoutées
Les marchepieds grossiers d'origine Atlas seront remplacés par des modèles L'obsidienne en métal découpés puis soudés sur deux tiges laiton de 1 mm qui s'emboîteront dans les orifices existants de bas de caisse
Je n'ai pas pu reproduire le schéma exact, mais c'est beaucoup plus discret!!
Le dessous du châssis et les organes de roulement ont été patinés à l'aérosol avec les produits acryliques à solvant Décapod
Un nettoyage des bandes de roulement au diluant Décapod doit être effectué immédiatement après avec des cotons tiges
la barrette de leds est collée, et une bande cuivrée adhésive coupée en plusieurs sections permet de raccorder tous les fils. Le décodeur est un lokpilot Nano d'ESU qui sera logé dans le compartiment toilette.
Les fils du décodeur sont raccordés à la barrette comme suit:
fil rouge = roues de droite dans le sens de la marche avant
fil noir = roues de gauche dans le sens de la marche avant
fil orange et gris = plots moteur
fil bleu = masse commune (anodes des leds)
fil vert = éclairage des feux AV (cathode des leds) commande touche AUX 1
fil violet = éclairage compartiment intérieur (cathode des leds) commande touche AUX 2
fil blanc et jaune (inutilisés)
Terminé, l'autorail peut faire ses premiers tours de roues en régime digital, le fonctionnement est excellent. J'ai réalisé quelques séquences vidéos que je présenterai à l'occasion sur you tube.
Une dernière photo prise avec peu d'éclairage.
En conclusion, la motorisation à l'échelle HO d'un modèle circulant sur une voie métrique (HOm) n'était pas évident, c'était le choix de notre amateur italien, le résultat niveau esthétique reste acceptable avec des bogies dont le gabarit est très proche de celui conçu par Atlas. L'inscription en courbe reste malgré tout limitée à des voies de rayon R5 Roco soit environ 54 cm, en dessous, les roues frottent sur la caisse.
A + pour de nouvelles créations.
Le module 1 doit accueillir ce type de bâtiment reproduit par PN Sud Modélisme. Il s'agit d'un foyer/dortoir situé dans l'enceinte du dépôt qui permettait au personnel de conduite de se restaurer et également de faire une pause méritée.
réalisé en pierre synthétique, son assemblage par collage (cyanolit ou néoprène) ne pose pas de problème particulier. Il importe de surfacer les arêtes en frottant sur une feuille de verre posée bien à plat sur un établi. L'ébarbage des excroissances venues du moulage (contour de porte et fenêtres) est réalisé avec une lime douce. Les quatre coins intérieurs sont renforcés avec une baguette en bois après vérification de l'équerrage
Les murs latéraux doivent être biseautés pour un jointage parfait de la toiture. Opération réalisée également par ponçage sur la feuille de verre à grains moyens.
la mise en peinture est réalisée à l'aérosol Belton dans un gris ciment clair sur le corps du bâtiment et un gris plus foncé sur les huisseries et volets en métal. Les pierres de parement de pignons, encadrement de porte et fenêtres sont ensuite peints en blanc (acrylique Pébéo) avec une brosse fine.
La toiture en pierre synthétique est également peinte à l'aérosol Belton (Brun/orange), les gouttières sont issues d'un kit Décapod peint couleur zinc à l'aérosol. Les bordures de toiture découpées dans une feuille de balsa sont peintes couleur ciment.
A ce stade de la construction, les huisseries peuvent être posées par collage, sans les vitrages qui seront ajoutés après patine du bâtiment. Idem pour les bandeaux en balsa sur chaque pan de toiture ainsi que les gouttières
Il ne reste plus qu'à poser la cheminée, les volets, et les cinq poutres qui supportent la toiture.
Le bâtiment trouve sa place près du château d'eau et sera le dernier équipement du module 1
La patine est désormais classique, lavis sale fortement dilué dans du white spirit, et terre à décor appliquée après séchage, puis fixation avec un voile mat incolore Tamiya
L'éclairage intérieur a été installé, le bâtiment peut être posé à l'emplacement prévu avec quelques accessoires et personnages récupérés dans mes tiroirs.
Les murs de clôture (Busch) ont été peints couleur ciment, puis patinés avec un lavis.
Un second portail donne accès au dépôt via une petite route longeant le diorama. Un petit bac à charbon (récup) est installé entre le château d'eau et le foyer/dortoir
Cette disposition permet de casser l'image rectiligne du fond de décor en incorporant de la végétation qui se confond avec les arbustes du diorama.
Le bâtiment est bien intégré dans son environnement, un rideau d'arbre fait écran avec les constructions d'arrière plan du diorama. C'est sans doute l'étape la plus délicate à mettre en oeuvre pour obtenir une transition acceptable entre la maquette et le fond de décor qu'il faut choisir judicieusement. De nombreuses photos permettent de vérifier avant toute implantation si l'effet visuel de profondeur est atteint.
Des taquets d'arrêt sur les sections courtes du pont tournant ont été installés, pour empêcher la dérive du matériel roulant (production-ludo-modélisme)
Il ne reste plus qu'à construire une route en façade du module 1 et clôturer le dépôt avec un muret avant d'attaquer le module suivant.
à suivre
vidéo 209
Je vous présente une vidéo réalisée par Bruno sur l'ex réseau biscatrain mettant en circulation le RGP X2700 Roco (version améliorée) et un convoi de citernes Elf.
Les séquences enregistrées n'ont pas permis de restituer le format habituel, le retraitement dans une définition de 1920x1080 pixels ayant tendance à élargir les images. L'essentiel étant de revoir circuler des locos sur un réseau comportant de nombreuses extensions. Le trajet permet notamment de traverser une immense gare de triage, contourner un grand dépôt en cours de construction, puis un module superbement décoré (PN Sud Modélisme) qui met en valeur le passage d'un convoi de citernes Elf.
Bon visionnage
Suite à une commande formulée par un modéliste italien (bonjour Rome !!) j'ai entrepris la motorisation et digitalisation d'un modèle d'autorail produit par les Editions Atlas. Il s'agit de la micheline type 51 (dite coloniale) à voie métrique qui a roulé notamment sur le réseau de Madagascar.
Toutefois, l'autorail devant circuler sur de la voie normale HO, je dois l'équiper d'essieux adéquats, ce qui complique un peu les travaux, compte tenu de l'étroitesse de la caisse et de la disposition des deux bogies comportant trois essieux chacun.
Le démontage des principaux éléments, caisse, châssis, aménagement intérieur, bogies, ne pose aucun problème (fixation par vis) L'axe de rotation des bogies est décalé afin de faciliter l'inscription en courbe. Cette disposition sera maintenue.
Un rapide examen des bogies équipés d'essieux (roues de 9 mm de diamètre - fourniture Limousin Modélisme Trains) permet d'envisager la transformation, l'empattement des flancs d'origine correspondant sensiblement à ceux des essieux HO
Les cotes du bogie moteur sont repérées, après quelques vérifications, la découpe du bâti moteur peut être effectuée précisément avec la mini scie circulaire d'établi Proxxon. Les deux éléments sont collés provisoirement l'un contre l'autre pour obtenir un perçage symétrique (utilisation d'une perceuse à colonne), chaque trou étant dans le même alignement et distant de 7 mm
j'ai prévu une motorisation sur les trois essieux, à partir d'un train de pignons Roco de récupération dont les entraxes correspondent quasiment à ceux d'origine Atlas. Par contre, je dois réaliser un bâti complet à partir de plaques époxy cuivrées. Le moteur est un mitsumi équipé d'une vis sans fin (module 0,4) qui entraînera un pignon intermédiaire Roco. L'un des bâtis comporte une piste cuivrée isolée qui participera à la prise de courant via des lamelles de contact. Les deux éléments seront assemblés par collage cyanolit sur un support époxy dont la largeur correspond à celle des pignons Roco.
Sur cette photo, le bâti moteur est assemblé, lors du collage, il faut vérifier que les 6 roues soient bien en contact sur une surface plane, sinon, il faut tout recommencer!!! Des entretoises en Epoxy consolident le bâti et serviront de berceau au moteur.
les pignons intermédiaires sont repercés avec un foret de 2,1 mm afin de tourner librement sur deux tubes laiton de 2 mm de diamètre. Ils serviront également de support pour refixer les flancs de bogies.
vue de dessous du bogie. Un carter sera confectionné pour protéger la pignonnerie.
le pignon rouge intermédiaire est également un modèle Roco, son alésage étant de 2,5 mm, l'axe a été calibré en conséquence. (foret tronçonné)
Le bogie moteur sera installé à l'arrière de l'autorail, moyennant une découpe du châssis métallique d'origine. Cette disposition doit permettre de loger un volant d'inertie sur le moteur. (commande en cours chez Micro-modèle)
le carter est fixé par deux points de colle sur les extrémités du châssis, ce qui permettra un éventuel démontage des organes de roulement si nécessaire. Un test de fonctionnement confirme que la transmission est souple et silencieuse.
Sur cette photo, nous voyons que le gabarit du bogie moteur à l'échelle HO est assez proche de celui d'origine à l'échelle HOm, ce qui ne devrait pas trop dénaturer le modèle Atlas
Les flancs de bogie sont percés au diamètre 1mm et seront supportés par 4 tiges en laiton de même diamètre fixées sur le châssis
La découpe du châssis est réalisée à la scie alternative Proxxon, l'emplacement de l'axe de rotation du bogie a été maintenu moyennant la pose d'une vis soudée à l'envers sur le moteur
Il faut confectionner une bride dans un plat de laiton pour positionner le moteur. Deux mini trous ont été taraudés (1,2 mm) de chaque côté du châssis, ce qui permettra de la fixer par vissage.
La bride est posée. Un test permet de vérifier que la rotation des deux bogies s'effectue correctement sur un coupon de rail courbe (Roco R5 = 54 cm) A priori, l'autorail devrait pouvoir passer sur des courbes encore plus serrées.
Le bogie porteur Atlas a été conservé, mais renforcé avec deux traverses Epoxy collées sur les flancs et percées au gabarit adéquat. L'aménagement intérieur est positionné par collage sur le châssis après découpe de la surface abritant le moteur.
Des lamelles de contact en chrysocal sont soudées de part et d'autre du châssis. La prise de courant sera faite sur les 6 essieux de l'autorail.
Le bogie porteur a également été équipé de lamelles de contact sur les 6 roues.
J'ai prévu un éclairage intérieur. Il faut donc passer une première couche de peinture noire mate sur tout l'intérieur de l'autorail pour éviter des fuites de lumière par transparence du plastique, d'autant plus nécessaire vu la livrée très claire (ivoire) Cette intervention nécessite de décoller les vitrages.
les premiers tours de roues sur rail en régime analogique confirment la bonne tenue de l'engin. Un lestage sous le châssis sera peut être envisagé en phase finale de réalisation.
la caisse provisoirement reposée permet de vérifier que la hauteur sur rail est respectée. Le plus gros des travaux est réalisé. La suite de cet article portera sur l'installation d'un décodeur, l'éclairage des phares, l'éclairage intérieur, la pose d'un conducteur et de passagers, et des travaux de finition.
A suivre
Un élément indispensable devant figurer sur le dépôt vapeur: le château d'eau dont le choix de Gilles s'est porté naturellement sur le joli modèle de type PLM de PN Sud modélisme.
Par le passé, j'avais déjà équipé mon ex réseau biscatrain de cette maquette, avant même la conception de mon blog. Aujourd'hui, je replonge dans sa construction, l'occasion d'en décrire les différentes étapes.
Le corps du bâtiment est en pierre synthétique moulé que j'ai peint à l'aérosol Belton (stone grey light 213) après ébarbage des ouvertures. La cuve en résine est peinte en noir mat (spray tamiya)
J'ai découpé dans une feuille de polystyrène une pastille afin de fermer le haut de la cuve qui sera remplie de résine.
J'utilise de la résine liquide transparente de FR décor coulée directement dans la cuve. Préalablement, j'ai teinté le fond en vert mousse. Sur cette photo réalisée en phase finale, le château d'eau a été patiemment patiné.
Au séchage, la résine a tendance à se rétracter sur les bords. J'ai éliminé cet effet de cuvette avec un cutter effilé afin d'obtenir une surface la plus plane possible.
La cuve est équipée d'une réglette permettant de visualiser son niveau de remplissage. Les sept supports prévus en laiton doivent être mis en forme et collés suivant le schéma fourni par le fabricant.
deux profilés carrés en laiton sont ensuite collés et serviront de support à la réglette autocollante fournie dans le kit
Les échelles et huisseries de porte et fenêtres en laiton sont peintes à l'aérosol. Les pierres de parement du socle reçoivent une touche de peinture acrylique blanche (Pébéo) A ce stade, les deux éléments peuvent être collés ensemble.
j'ai confectionné un support des deux poulies qui doivent être installées en haut de la cuve, avec deux profilés en U plat.
il doit être positionné dans l'axe de la réglette et supportera une petite chaînette plongeant dans l'eau de la cuve. Son rôle via un flotteur est de situer le niveau de l'eau sur la réglette sans avoir à visiter la cuve.
l'extrémité de la chaîne qui pend le long de la réglette donne le niveau de remplissage. Bien sûr, tout est fictif sur la maquette, mais bien représenté par le constructeur. Les échelles sont soudées sur des supports à mettre en forme en U qui s'encastrent sur le mur et la cuve après perçage avec un foret de 1 mm.
Il ne reste plus qu'à vérifier l'implantation du château d'eau sur le module avant d'attaquer sa patine, laquelle mérite un traitement soigné pour obtenir un résultat proche de la photo figurant sur le colis d'emballage du fabricant.
C'est fait. Un jus sale à base de peinture Humbrol (noir, brun, beige, vert) bien dilué dans du white spirit est badigeonné sur l'ensemble de la construction.
Quelques touches de rouille sont appliquées à la brosse (humbrol 113) avant séchage complet.
La finition se fait avec de la terre à décor qui s'accroche très bien sur les surfaces traitées. Un voile de vernis mat incolore (spray Tamiya) fixe le tout. La pose des huisseries (porte et fenêtres) est la dernière intervention avant installation du château d'eau à l'emplacement prévu.
Sur ces photos, nous apercevons un abri qui servait à protéger le personnel des bombardements lors du dernier conflit. On le trouvait parfois sur certaines zones exposées de dépôt/triage. Il s'agit également d'une production PN Sud modélisme très bien reproduite en résine.
La construction du module 1 est bien avancée, mais il reste encore un bâtiment à faire figurer (foyer/dortoir) lequel sera traité lors d'un prochain article.
A suivre
les travaux de la semaine portent sur la fabrication "maison" d'un bâtiment administratif de type PLM destiné à figurer sur le module 1.
La photo ci dessus présente la maquette sur son emplacement définitif en phase finale de réalisation avant patine. Il s'agit d'une construction de conception "libre" faisant appel à des éléments de récup dont l'essentiel est issu d'une façade de gare PLM de PN Sud modélisme.
Lors de la construction de la gare terminus installée sur mon module vitrine, je n'ai pas utilisé cette façade en pierre synthétique qui représentait le côté cour. J'ai pensé que son recyclage en bâtiment administratif formant fond de décor était envisageable.
Une découpe précise effectuée avec une mini scie à métaux à lame fine permet de dégager deux ailes qui viendront s'accoler sur la partie centrale après un dressage des chants sur une feuille de papier de verre. Les deux ailes ont une position inversée par rapport à la façade afin de conserver les pignons d'angle en pierre de parement.
Au départ, je pensais installer ce bâtiment dans l'alignement du module avec deux ailes de même dimension, en consolidant le fond avec des plaques de xyltech de 5 mm d'épaisseur
Plusieurs tests de positionnement m'ont incité à modifier la conception du bâtiment afin de tenir compte des voies déjà posées.
j'ai pu récupérer une partie des huisseries, volets et cheminée inutilisés, par contre la toiture a dû être fabriquée à partir de plaques en relief (réf Noch 55730)
Pour les 3 portes, j'ai dû adapter les ouvertures avec ce que j'avais sous la main! Une seule est d'origine.
L'un des pignons a donc été modifié pour présenter le bâtiment sous un autre angle, avec un autre pan de toiture. Les pierres de parement sur les pignons d'angle ont été découpées dans une feuille de styrène gravée avec une pointe à tracer.
J'ai ajouté un petit auvent et ses supports récupérés sur une marquise du fabricant PN Sud.
Le positionnement du bâtiment est visuellement amélioré. Un muret en pierre de taille viendra clôturer ultérieurement l'enceinte du dépôt
L'opération de patine est désormais classique. Le corps du bâtiment est peint avec une peinture acrylique Pébéo blanc antique, suivi d'un lavis Humbrol très dilué dans du white spirit, et finition avec de la terre à décor. Les vitrages découpés dans du verre synthétique sont collés après coup.
La base du bâtiment reçoit qq touches de terre à décor couleur mousse ainsi que qq touches de rouille sur les ancrages du auvent.
Des murets et un portillon d'accès au dépôt (réf Busch 6014) sont patinés avant leur pose après avoir reçu un voile de peinture couleur pierre.
Le bâtiment peut être posé définitivement dans l'axe d'une des voies desservie par le PT. Le muret avec son portail permettra de créer une enceinte dans tout le dépôt et faire une transition du même coup avec le diorama d'arrière plan. Dans la mesure du possible, il est recommandé de ne pas suivre le même alignement, ce qui permettra de loger de la végétation entre le muret et le diorama.
vue sur les trois bâtiments installés dans l'environnement de la plaque tournante. Dans l'ensemble, le style de construction PLM est respecté avec bien sûr quelques entorses, mais c'est bien tout l'intérêt de notre hobby qui laisse une grande part de liberté dans nos réalisations.
Le château d'eau PN Sud Modélisme (à construire et à décorer) est installé provisoirement afin de positionner le muret qui clôture le dépôt. Il est un peu en retrait par rapport au fond de décor, ce qui permet de loger derrière du filet floqué représentant des arbustes de la même couleur que ceux du diorama d'arrière plan
Quelques objets sont ajoutés (palettes, caisse, poteaux, échelle, cuves etc...)
J'ai préparé deux grues à eau en résine (PN Sud Modélisme) en attendant de leur trouver une place sur le dépôt. Elles ont reçu une première couche d'apprêt en spray gris clair
L'une d'elle a été patinée et devrait trouver sa place entre les deux bâtiments (rotonde/atelier)
Reste encore pas mal de détails à peaufiner, mais le plus gros de l'ouvrage est réalisé.
Quelques locos commencent à fréquenter le dépôt où elles attendent sagement que le module soit achevé pour faire qq tours de roues dans un nouveau décor.
A suivre
A la demande de nombreux internautes, et pour faciliter leur recherche, j'ai entrepris de constituer un glossaire regroupant tous les articles, photos et vidéos diffusées depuis la création du blog en janvier 2008.