Ah! nos bonnes vieilles 2 CV et 4L .........toute une époque!!!!!
Ah! nos bonnes vieilles 2 CV et 4L .........toute une époque!!!!!
scène de travaux sur le module couloir provisoirement démonté.
la 232 U1 jouef passe en atelier pour digitalisation et sonorisation........moyennant qq travaux dans le tender, il est possible de loger un décodeur sonore ESU de dernière génération.
draisine motorisée de maintenance sur base d'un pick up américain (production bachmann)
Les travaux ont repris pour poser la nouvelle voie le long de la structure nord du réseau. Le tracé étant tout droit sur environ 7 mètres de long, les plateformes peuvent être fabriquées en série. J'ai enlevé provisoirement les 3 modules qui ferment le couloir pour avoir un éclairage suffisant, et pouvoir circuler debout sur les 22 cm de large qui restent sur ce couloir!!!!!
Deux nouvelles sections sont maintenant posées, supportées tous les 50 cm par des équerres en CP, en veillant à respecter la pente de 2%
Vue de dessous
Arrivé à la hauteur du pilier mural (sensiblement situé au milieu du réseau), j'ai prévu de réaliser un plan de roulement escamotable, du même type que ceux utilisés sur les réseaux donnant sur une porte d'accès.........
pourquoi?
il faut que je puisse accèder par le dessous du réseau à la hauteur du module "baraque de cantonniers" Je peux me glisser sous 30 cm, mais je ne passe pas sur 22 cm!!!!! Nous voyons le long du pilier à la verticale la section qui raccordera le plan de roulement en aval qui est déjà posé. La pente doit être parfaitement respectée pour ne pas provoquer de cassure. L'exercice n'est pas simple, mais au bout de qq heures, tout est OK, je peux retourner en atelier fabriquer le "pont" en question.
Le module devra s'encastrer précisément entre les plans de roulement fixes. Par ailleurs, la continuité électrique devra être assurée une fois posé.
Un premier test de pose permet de vérifier qu'il n'y a pas de rupture dans la pente.........et que les plans de roulement se joignent bien au même niveau..........sinon gare aux déraillements!!!!
Le raccordement électrique de la section de voie escamotable sera assuré par un système de plots qui viendront s'enficher dans un tube en laiton. à la manière d'une prise de courant secteur. Sur cette photo, nous voyons les éléments à fabriquer à partir de platines, de tiges et tubes en laiton.
quatre platines ont été découpées dans la plaque de laiton. Elles sont percées de trois trous de 2 mm, le central accueille un morceau de tube de laiton de 2 mm de diamètre qui est positionné dans une plaque de CP de 16 mm d'épaisseur..........ce qui permet de souder les deux pièces parfaitement à angle droit
le diamètre intérieur du tube laiton est un peu trop faible pour enfiler une tige de laiton de 15 dixième de mm, il devra être repercé avec un foret de 16 dixième, afin que la tige puisse coulisser sans forcer dans le tube, tout en assurant une continuité électrique satisfaisante, vu la longueur du fourreau.
Avant leur pose sur leur support respectif, il convient de souder les fils qui seront raccordés aux rails.
Afin d'assurer un bon positionnement des tiges/tubes sur leur support, la plateforme escamotable a été percée (en place) préalablement de quatre trous de 1,5 mm de diamètre, traversant cette dernière et les supports qui l'accueilleront. Sur cette photo, les tiges sont positionnées, bloquées par une rondelle en laiton soudée
vu de dessus, le rail collé sur son support est raccordé électriquement par deux fils soudés à la tige de laiton.
Les supports sont fixés par vissage sous le plan de roulement et les fils raccordés aux deux files de rails.
Sur cette photo, nous voyons la plateforme escamotable dans le fond posée, je peux maintenant vérifier que l'alimentation électrique est correcte.
et vérifier que les rails sont bien jointifs au niveau de la passerelle
le raccordement électrique ne pose pas de problème particulier, l'intervalle entre les rails (moins de 1 mm) assurera un passage des convois sans secousse !!!!
test de circulation avec une rame VB2N dans les deux sens de marche.........cela passe impec!!!
Le module baraque de cantonniers peut-être reposé, désormais, je pourrai le soulever et l'accrocher au pilier central en me glissant sous le réseau, après avoir ôté la passerelle que l'on voit en dessous et qui fait sensiblement la même longueur. j'ai retenu ce processus qui m'évitera de sortir les 3 modules couloir si je dois faire une intervention de maintenance dans cette zone rétrécie. J'ai intérêt à rester souple et svelte!!!!!
Maintenant, je vais passer à autre chose, car je dois ménager le dos si je veux mener le projet à terme.........le prochain tronçon devrait permettre la jonction avec celui déjà réalisé de l'autre côté du réseau...... au niveau -16........c'est à partir de là que seront construites les voies donnant accès à la troisième gare souterraine........c'est loin d'être fini!!!!
A +
balade en cabriolet......
BB1206 Vossloh en manoeuvre sur voie de service
l'autorail decauville PLM Atlas a reçu une légère patine qui permet d'atténuer l'aspect train jouet du modèle......
baraque de cantonniers sur module escamotable
Dans le précédent article, j'avais présenté une motorisation installée sur cet autorail qui avait donné satisfaction durant la phase de tests...........hélas, le moteur RSF de récup a montré très vite des signes de faiblesse.........il fallait donc revoir la copie, dans la mesure où je n'avais pas un modèle de remplacement de ce type!!!!
En examinant de plus près ce petit véhicule Bachmann motorisé, j'ai remarqué que le premier train d'engrenage avait exactement l'empattement des bogies de l'autorail Decauville.........j'ai donc décidé qu'il serait sacrifié.........ayant peu d'intérêt à le faire circuler sur un réseau français. Les deux axes moulés sur chaque demi carter doivent être sectionnés et percés avec un foret de 2 mm a leur emplacement respectif........c'est l'opération la plus délicate car il faut que les trous soient exactement l'un en face de l'autre sur chacun des carters.........à réaliser avec une perceuse sur colonne!!!!
zoom sur les deux demi carters après percage, le micro moteur est pris en sandwich et maintient les carters par simple pression..........néanmoins, les supports de vissage extrême devront être supprimés pour réduire la longueur du bogie. A noter que les deux demi carters sont isolés électriquement par deux bagues en plastique........qui seront donc également supprimées.
Les deux engrenages ci dessus sont entraînés par deux vis sans fin en bout d'arbre moteur.........il faut les percer à 2 mm pour les adapter aux essieux de l'autorail..........celui de droite est usiné, l'autre pas encore. Les deux demi carters ont été fraisés pour réduire leur épaisseur et le bossement présent sur chacun d'eux.......ce n'est qu'après cette opération que je vais pouvoir les raccourcir.
Il est important de roder les trous de 2 mm afin que les essieux tournent librement sur leur axe..........soit en perçant avec une mèche de 2,1 mm, soit en faisant tourner qq temps une mèche de 2 mm dans les deux demi carters.........j'ai retenu cette dernière solution.
Zoom sur un demi carter qui a été raccourci à chaque extrémité, exactement à l'endroit où était positionné les roues du camion Bachmann..........nous voyons le micro moteur équipé de ses deux vis sans fin.........il faudra avant de tout remonter souder deux fils (orange et gris) sur les plots du moteur.
Les deux pignons sont enfoncés à force sur les essieux.
Le bogie est remonté, il faut intercaler deux pièces de polystyrène de 1 mm d'épaisseur entre chaque demi carter et coller les deux éléments. Elle remplacera les deux bagues en plastique décrites ci-dessus. Attention, il faut laisser libre l'emplacement des deux vis sans fin et du moteur.
vue de dessous, à ce stade, on peut tester le bogie moteur qui doit entraîner librement les deux essieux.
La partie centrale des flancs de bogie d'origine a été collée sur la structure métallique, il faut prévoir maintenant un système de rotation du bogie en collant une pièce de polystyrène de 2 mm d'épaisseur percée en son centre d'un trou de 2 mm dans lequel vient se glisser une vis à tête fraisée (tête en bas) un plancher est découpé sur une longueur limitée au deuxième vitrage de l'autorail.......il viendra s'appuyer exactement sur les vitrages intérieurs qui débordent à l'intérieur de la caisse.
Dans le même temps, je prépare l'éclairage intérieur de l'autorail, avec un ruban de leds CMS adhésif;
Un nouveau jeu de lamelles de contact a été confectionné...........
Le support de bogie moteur a été raccordé au chassis de l'autorail, nous voyons la sortie des quatre fils assurant la captation du courant sur les rails et l'alimentation du moteur.........
deux autres fils (rouge et noir) traversent tout le chassis, alimentés par l'autre bogie porteur.
Le compartiment voyageur est fixé sur le chassis métallique par 3 vis à tête fraisée. Le décodeur trouve sa pace sans problème au dessus du bogie moteur, un premier test de roulement confirme un bon comportement de l'engin dans les deux sens de marche, et un fonctionnement très silencieux.....
Quelques travaux de peinture sur le chassis et les bogies avant de repositionner la caisse de l'autorail.......Il reste encore un travail très délicat à réaliser, installer des feux leds CMS bicolores sur les quatre phares minuscules de l'engin, changer les vilains tampons dont est doté cet autorail.........raccorder la rampe d'éclairage, et les indispensables travaux de patine!!!!
j'ai pu trouver sur ebay un jeu de 4 tampons Jouef adaptés à cet autorail, avant de les poser, j'ai passé un voile de primaire gris avec une bombe aérosol Tamiya.
Pendant que la peinture sèche, je peux m'attaquer aux quatre feux de l'autorail dont on voit l'un d'entre eux dans sa livrée d'origine. C'est le travail le plus délicat car il faut remplacer le support plein en plastique par un tube laiton de 1 mm de diamètre, l'intérieur soit 0,5 mm permet de faire passer les trois fils des leds CMS bicolores.
Avant de fabriquer les trois autres feux, je m'assure que le montage est possible...........car il faut usiner l'intérieur de la lanterne afin de pouvoir loger la minuscule leds CMS, la percer à l'arrière pour fixer le support en laiton, le tout étant collé.
sur cette photo, un test d'éclairage est réalisé avec une pile de 9 V + résistance 1 Kohms
la lanterne est posée dans une cavité pour faciliter son usinage avec une fraise ronde.........j'utilise une visseuse tournant à faible vitesse équipée d'un mandrin...........sinon, la lanterne fond irrémédiablement!!!!!!
les leds CMS bicolores blanc ton chaud/rouge sont livrées précablées avec des fils émaillés minuscules (fourniture LMT) et j'utilise exclusivement la colle UHU strong and safe qui ne détruit pas l'émail des leds et qui permet un repositionnement des pièces à coller durant qq secondes..........
zoom sur les trois éléments constituant chaque feu.........le tube en laiton (fourniture l'Octant) doit être biseauté pour laisser passer les trois fils émaillés...........le derrière du globe de la lanterne est percé délicatement avec une mèche de 1 mm de diamètre, à l'endroit de son ancien support en plastique qui a été sectionné au cutter.
il faut repeindre la traverse de choc qui a souffert lors du démontage des tampons d'origine collés, j'ai retrouvé un pot humbrol 48 dont la couleur est approchante, mélangé avec un peu de blanc mat, cela fera l'affaire.
J'en profite pour repeindre également les quatre feux et leur support avant la pose.
Sur cette photo, j'ai raccordé provisoirement les feux et la rampe d'éclairage au décodeur pour tester la luminosité........Des résistances de 10 Kohms sont nécessaires pour éviter un éclairage trop violent des feux AV et AR, et une autre de 3 Kohms sur la rampe de leds CMS pour l'éclairage du compartiment...........ces valeurs donnent un excellent résultat.
Enfin, il est judicieux de patiner la caisse.........sur cette photo, un premier traitement avec de l'encre modelmate brun boue........un peu trop prononcé...........mais on peut revenir en arrière en brossant à l'eau.
ce qui donne cela.........mais il reste encore qq points à fignoler...........le plus dur est fait, l'engin fonctionne parfaitement et va pouvoir rejoindre la cavalerie des autorails.
J'en suis venu à bout, non sans mal.........je vais pouvoir retourner à d'autres occupations moins stressantes!!!!!!! Aussi, je souhaite beaucoup de patience à tous les amateurs qui souhaitent améliorer les autorails issus de la collection Atlas, modèles qui nécessitent des travaux souvent difficiles du fait le leur conception statique. Ils ont le mérite d'exister........alors ne boudons pas notre plaisir!!!!
Une dernière photo de l'autorail tous feux éclairés dans la traversée de la tranchée sud/est du réseau.
A la demande de nombreux internautes, et pour faciliter leur recherche, j'ai entrepris de constituer un glossaire regroupant tous les articles, photos et vidéos diffusées depuis la création du blog en janvier 2008.